Je ne trompe pas mon mari ! est une comédie en trois actes, de Georges Feydeau, écrite en collaboration avec René Peter[2], représentée pour la première fois à Paris, le 18 février 1914[3], sur la scène du théâtre de l’Athénée et reprise sur la même scène le 9 décembre 1916[4],[5].
Le peintre Saint-Franquet, le meilleur ami de M. Plantarède, fait la cour à Mme Plantarède. Et comme elle ne veut pas tromper son mari, Saint-Franquet gifle Des Saugettes, un petit gigolo, qui soupire pour Mme Plantarède. Miss Doty, une américaine milliardaire, fille du roi du cochon, veut épouser Saint-Franquet, malgré son fiancé Tommy. Saint-Franquet se remet avec son ancienne maitresse Mlle Bichon, une grue, étoile de café-concert.
Bichon, devient Mlle de Jouy, par la volonté du Ministère des Affaires Etrangères, aux menus plaisirs du Shah. Saint-Franquet se dispute, avec sa maîtresse, Bichon. Elle déclare qu'elle a un protecteur et lui téléphone; il arrive. C'est Plantarède.
Mme Plantarède, trompée, veut se venger, et se décide enfin à tromper son mari, la voici qui, elle arrive chez Saint-Franquet, au moment où celui-ci vient de promettre à Miss Doty de l'épouser. Saint-Franquet couche chez lui avec Mme Plantarède. Mme Plantarède aidée de Bichon persuade M. Plantarède qu'elle ne l'a jamais trompé, elle a simulé un adultère pour se venger. Saint-Franquet épouse Dotty, celle-ci imaginant que c'est par suite d'une erreur d'enveloppe qu'il lui a adressé une lettre de rupture.