Néerlandais, Jan Doornik effectue ses études en France puis en Suisse[1].
En lors de l'invasion allemande, il est en Belgique pour affaires et ne peut rejoindre les Pays-Bas pour s'engager. Il passe en France, arrive à Paris à marche forcée, les pieds en sang, et se rend aussitôt auprès de l'attaché militaire néerlandais qui lui conseille de patienter. Mais voulant combattre sans attendre, Doornik rejoint Cardiff le et s'engage comme volontaire dans la formation de choc d'un corps hollandais[1].