Il enseigne pendant dix ans dans un collège, à Fismes, près de Reims, puis à Paris, dans plusieurs collèges, et au lycée Montaigne. Il abandonnera l'enseignement en 1969 pour se consacrer à ses écrits, et à l'art contemporain.
De 1960 à 1968, il écrit dans la presse communiste, notamment dans l’hebdomadaire culturel né de la Résistance, Les Lettres françaises, que dirige alors Louis Aragon. Il rencontre au milieu des années 1960 le groupe Tel Quel. Philippe Sollers publie ses premiers textes dans la revue qu’il dirige aux éditions du Seuil, ainsi que ses trois premiers romans, Archées (1969), Chasses (1975) et Carrousels (1980). Ses romans et essais suivants seront publiés pour l’essentiel chez Grasset, Denoël, Stock, puis à nouveau au Seuil, dans la collection « Fiction & Cie », dirigée par Denis Roche, aujourd’hui par Bernard Comment.
Jacques Henric relate dans Politique, publié en 2007 dans la collection « Fiction & Cie » des éditions du Seuil, son parcours biographique (politique et littéraire).
Jacques Henric appartient depuis 1972 au comité de direction de la revue Art press[3] que dirige Catherine Millet.
Dans la revue Art press, Jacques Henric fait souvent part de son admiration, et écrit souvent des articles à propos des écrivains Pierre Guyotat, Philippe Sollers, Antonin Artaud, Georges Bataille. On trouve toujours un article de Jacques Henric dans Art press, notamment dans la rubrique « le feuilleton », où il aborde souvent des polémiques en rapport avec la littérature et l'art contemporain.
En , la première étude critique complète sur son œuvre paraît aux éditions Tinbad, Jacques Henric entre image et texte, par Guillaume Basquin[4].
Son livre Boxe, paru au Seuil, a reçu le prix Médicis essai en 2016 et le prix essai de l'Académie française la même année.