En 1955, il est rapporteur du projet de loi qui instaure l'état d'urgence sur le territoire algérien[2].
Candidat à sa propre succession en 1956, Jacques Genton, à la tête d'une liste composée de membres du RGR et du PRRRS, ne recueille que 8,1 % des suffrages, du fait de la multiplication des listes et du bon score du candidat poujadiste.
Jacques Genton, Une mémoire pour des souvenirs, Sancerre, Les petits remparts, 1998-2001, Tome 1, 1918-1945, 427 pages. Tome 2, De Bourges à Gourdon, 345 pages. Tome 3, De Gourdon à l'Assemblée nationale via Alger et Bourges.