En 1947, un secteur plutôt rural de la paroisse Saint-Antoine de Longueuil s'en détache, pour former la ville de Jacques-Cartier qui deviendra la cité en 1952[2],[3],[4].
Après avoir été temporairement installé (à partir de 1947) dans les bureaux du notaire Goyette, rue Saint-Georges, l'hôtel de ville de la cité de Jacques-Cartier emménage en 1952 dans un nouvel édifice au coin du boulevard Curé-Poirier et de la rue Brébeuf. Après la fusion de la cité avec Longueuil, le bâtiment restera utilisé par les services municipaux[5].
En 1953, la cité de Jacques-Cartier est en faillite. Elle est alors mise sous tutelle et administrée par la Commission municipale du gouvernement du Québec, et le restera jusqu'à la fin de son existence en 1969[5].
L'élection municipale de 1957 est entre autres marquée par l'arrestation frauduleuse du journaliste Gilles Constantineau[6].
En 1969, son dernier maire, Roland Therrien, en obtiendra le rattachement à la ville de Longueuil[7].
↑« Un journaliste ne peut obtenir de dommages pour des motifs de droit : Arrêté à l'élection de 1957 à Jacques-Cartier », La Presse, no 45, , p. 3 (lire en ligne, consulté le )
↑Luc Mercier, La galerie des maires, Société historique du Marigot, Longueuil, 1994, p. 53.