Elle meurt en des suites d'un accident de la route en région parisienne[4].
Commentaire
Selon sa biographe Brigitte Rollet,
« c'est sans doute la première cinéaste qui se soit à ce point adressée aux femmes du public dans ses films en permettant une identification très positive. Elle-même est construite et présentée dans la presse de cinéma populaire de l'époque comme une sorte de modèle implicite de “femme qui réussit dans un métier d'hommes”, malgré les obstacles qu'elle rencontre[5]. »
Brigitte Rollet, Jacqueline Audry, la femme à la caméra, Presses universitaires de Rennes, 2015 [présentation en ligne]
Patrick Cabanel, « Jacqueline Audry », in Patrick Cabanel et André Encrevé (dir.), Dictionnaire biographique des protestants français de 1787 à nos jours, tome 1 : A-C, Les Éditions de Paris Max Chaleil, Paris, 2015, p. 114-115 (ISBN978-2846211901)