Il légalise les partis politiques d'opposition (dont l'Action démocratique et le Parti communiste) et rétablit la liberté d'expression, met en place réforme agraire modérée, une première loi sur les hydrocarbure favorable à l’État et au détriment des multinationales et étend la Sécurité sociale[1]. Il est renversé par un coup d'Etat civico-militaire associant le parti Action démocratique à des groupes militaires clandestins du major Marcos Pérez Jimenez[1].
↑ a et bMaurice Lemoine, Les enfants cachés du général Pinochet. Précis de coups d'Etats modernes et autres tentatives de destabilisation, Don Quichotte, , p. 328