Eva Ionesco, dont l'enfance a été violemment marquée par l'attitude de sa mère – la photographe Irina Ionesco qui mettait en scène une hyperérotisation de sa fille confinant à la pédopornographie[1] –, avait précédemment évoqué son adolescence dans son premier film My Little Princess sorti en 2011[2],[3]. En 2015, c'est son mari, Simon Liberati, qui écrit un livre sur elle, et les abus qu'elle a subi, intitulé Eva. Dans la continuité de ce travail autobiographique, le couple décide d'écrire en parallèle l'histoire de leurs enfances et plus particulièrement de leurs pères respectifs[4], question qu'Eva Ionesco n'avait que très peu abordée jusque-là[3]. L'auteure choisit également de focaliser son récit sur sa petite enfance et ses souvenirs les plus lointains ainsi que sur la période durant laquelle elle est confiée à la DDASS.
Le titre du livre, catégorisé comme un « roman », fait référence à une phrase d'Irina Ionesco qui, lorsqu'elle utilisait sa fille pour des mises en scène obscènes, disait à ses interlocuteurs « Ce n'est pas grave, la petite est innocente »[3].
Résumé
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Réception critique
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Lors de sa parution, le roman est particulièrement remarqué par la critique[2],[5],[3],[6] et les médias qui couvrent largement sa promotion[7],[4].