Henry Ossawa Tanner (né le – mort le ) est un peintreafro-américain qui atteignit la renommée internationale pour ses peintures de paysages et d'inspiration religieuse.
Henry Ossawa Tanner ouvre son propre atelier de peinture en 1886 à Philadelphie[9]. En 1888, il s'installe à Atlanta où il ouvre un studio de photographie et parallèlement, enseigne le dessin à l'Université Clark[10]. Une exposition de ses œuvres organisée par l'évêque méthodisteJoseph Crane Hartzell(en) et son épouse[11] lui permet de recueillir suffisamment d'argent pour fuir les États-Unis dont le racisme ambiant le décourage[12].
En 1897, Henry Ossawa Tanner sort de l'ombre lorsque le gouvernement français achète sa peinture "The Raising of Lazarus" exposée au Salon de Paris[18].
Par ses peintures d'inspiration religieuse, il obtient une réputation internationale[19].
Will South, A Missing Question Mark: The Unknown Henry Ossawa Tanner, article publié dans la Revue Nineteenth-Century Art Worldwide[35], 2009[24],
Maureen Mullarkey, An appreciation of Henry Ossawa Tanner, article publié dans la revue The Magazine Antiques, 2009[25],
Faith Ringgold, Henry Ossawa Tanner: His Boyhood Dream Comes True, éd. Bunker Hill Publishing Inc., 2011,
Naurice Frank Woods Jr., Henry Ossawa Tanner's Negotiation of Race and Art: Challenging "The Unknown Tanner", article publié dans la revue Journal of Black Studies(en), vol. 42, no. 6, 2011[36],
Ken Johnson, An African-American Painter Who Tried to Transcend Race, article publié dans le New York Times, le [23],
Emily Hage, Making the Modern Divine: The images of Henry Ossawa Tanner, article paru dans la revue tenue par les jésuitesAmerica (magazine), le [26],
Steven Carr, Henry Ossawa Tanner Makes Every Man a Brother, article publié sur le site du Schiller Institute, [29]
Jared Michael Lowe, Henry Ossawa Tanner: The Influencer of Many, article paru sur le magazine Ebony, le [18]
Farisa Khalid, Henry Ossawa Tanner, The Banjo Lesson, article publié sur le site de la Khan Academy, 2016[22],
Naurice Frank Woods Jr, Henry Ossawa Tanner: Art, Faith, Race, and Legacy, éd. Routledge, 2017,
Samuel Willard Crompton, Henry Ossawa Tanner: Landscape Painter and Expatriate, éd. Enslow Publishing, 2019,
Jeffrey Richmond-Moll, A Souvenir from the Holy Land: On Henry Ossawa Tanner's Abraham's Oak, article publié sur le site du Smithsonian American Art Museum, 2019[37]
↑Musée du Touquet-Paris-Plage, Lumière d’Opale : Les peintres étrangers de la colonie d’Étaples (1880-1920), Le Touquet-Paris-Plage, Aprim & Henry 62170 Montreuil, , 75 p. (ISBN978-2-9580069-0-7), p. 31
↑ a et b(en-US) Ken Johnson, « Henry Ossawa Tanner at Pennsylvania Academy of Fine Arts », The New York Times, (ISSN0362-4331, lire en ligne, consulté le )
↑Musée du Touquet-Paris-Plage et Marie-Françoise Bouttemy, Lumière d’Opale : Les peintres étrangers de la colonie d’Étaples (1880-1920), Le Touquet-Paris-Plage, Aprim & Henry 62170 Montreuil, , 75 p. (ISBN978-2-9580069-0-7), p. 45
↑(en-US) Woods, Naurice Frank., « Henry Ossawa Tanner's Negotiation of Race and Art: Challenging ‘The Unknown Tanner », Journal of Black Studies, vol. 42, , pp. 887–905 (lire en ligne)