En 1895, il fonde et anime à Paris une maison d'éditions, la Société libre d'édition des Gens de lettres[6],[7] qui s'illustre, en 1898, dans le combat dreyfusard en publiant un livre collectif d'hommages des Lettres françaises à Émile Zola[8]
Vittorio Frigerio, La littérature de l'anarchisme - Anarchistes de lettres et lettrés face à l'anarchisme, Éditions littéraires et linguistiques de l'université de Grenoble, 2014, (ISBN9782843102714), présentation éditeur.
Marjorie Rousseau, Les nouvellistes oubliés de l’anarchisme, Acta Fabula, vol. 13, n°5, mai-, lire en ligne.
↑(en) Alvan Francis Sanborn, Paris and the Social Revolution, a Study of the Revolutionary Elements in the Various Classes of Parisian Society, Boston, Small Maynard and C°, 1905, page 72.
↑Vittorio Frigerio, La vérité par la fiction : anarchisme et narration populaire, Belphégor, Université de Limoges, Rencontres internationales 2006-2007, lire en ligne.
↑Béatrice Vernier-Larochette, Les anarchistes et Zola : haine ou simple mésentente ?, Acta Fabula, vol. 8, n°4, septembre 2007, lire en ligne.
↑Jean-Jacques Lefrère, Philippe Oriol, La feuille qui ne tremblait pas : Zo d’Axa et l’anarchie, Flammarion, 2013; lire en ligne.
↑Augustin Frédéric Hamon, Une enquête sur la guerre et le militarisme, Garland, 1972, "Henri+Rainaldy" page 91.