Il reçoit des commandes de particuliers et de l’État. Il réalise un Monument à Pierre Puget érigé en 1906 place du Général-de-Gaulle à Marseille, puis transféré dans la même ville sans son piédestal en haut du cours Pierre-Puget[6]. Il réalise également la statue de L'Été en 1906 pour le jardin des Tuileries à Paris. Sculpteur fort apprécié, on retrouve ses œuvres sur les frontons du palais de justice de Nice (La Justice entre la Force et la Vérité, 1893), ou la Caisse d'épargne de Marseille (La Provence rurale et maritime, 1908) ou encore au Grand Palais à Paris (La Paix, 1900). Au Salon de 1894, il présente une Nymphe chasseresse[7].
Il est nommé chevalier de la Légion d’honneur en 1894[8], et reste professeur de modelage aux cours du soir à l'École des beaux-arts de Paris jusqu'à sa mort. Il est enterré au cimetière de Bandol où il possédait la villa La Tartane située boulevard Victor Hugo[9].
palais préfectoral : Nice se donnant à la France, 1896, groupe en marbre. Cette statue se trouve dans la salle des fêtes, dans une niche de style baroque décorée d'un fronton avec les armes de Nice entourées de celles des sous-préfectures de Grasse et de Puget-Théniers[16].
palais de justice : La Justice entre la Force et la Vérité, 1893, fronton en pierre.