En 1949, Akegarasu met l'accent sur la pratique Shin dans le sens de la foi seule, en déclarant dans un communiqué à ses disciples : premier shinjin, second shinjin, troisième shinjin. Il s'agit essentiellement du moment où le mouvement devient officiel, bien que le mouvement ne reçoit pas de reconnaissance officielle avant 1962. Les premières racines du mouvement de la foi Dobokai apparaissent en 1947 sous le shinjinsha, ou « véritable communauté de personne »[1].
La première traduction des écrits de Akegarasu se trouve dans le Selections From The Nippon Seishin Library, que Akegarasu publie en 1936 (traducteurs Hata Taigan, Hanaoka Kimi, Imadate Tosui et autres)[3]. En 1977, pour célébrer le centenaire de la naissance d'Akegarasu, deux ministres du temple bouddhiste de Chicago qui sont ses élèves directs publient leurs traductions : Le Fundamy DeRoin[4] et Shout of Buddha: Writings of Haya Akegarasu traduction de Gyoko Saito avec Joan Sweany[5].
L'étudiant le plus connu d'Akegarasu est Shuichi Maida (1906-1967).
Notes et références
↑ a et bPopular Buddhism In Japan: Shin Buddhist Religion & Culture par Esben Andreasen, pp. 46,71,72 / University of Hawaii Press 1998, (ISBN0-8248-2028-2)
↑Heard By Me : Essays on My Buddhist Teacher par Shuichi Maida, traduit par Nobuo Haneda, p. 194 / Berkeley: Frog Press 1992, (ISBN0-9627231-0-X)
↑Selections From The Nippon Seishin Library / Kita-yasuda, Ishikawa: Koso 1936, OCLC 4383762
↑The Fundamental Spirit of Buddhism par Haya Akegarasu, traduction de Gyomay M. Kubose (avec Nancy DeRoin) / Chicago: Buddhist Educational Center 1977, OCLC 84284631
↑Shout of Buddha: Writings of Haya Akegarasu traduction de Gyoko Saito et Joan Sweany / Chicago: Orchid Press 1977, OCLC 8224165