- Distribution et fourniture de gaz et d’électricité - Production d’électricité verte (hydroélectricité, solaire photovoltaïque, éolien, biogaz) - Production de chaleur propre : cogénération) - Éclairage public - Gaz naturel véhicules
En 2006 ,l’entreprise est le sixième distributeur français d'électricité et le quatrième distributeur français de gaz[1].
Elle exploite également des réseaux d’éclairage public communaux, dont celui de Grenoble[2].
À partir de 2015, GEG alimente en électricité la tour Eiffel pour une durée de deux ans[3].
Vers une remunicipalisation ?
En , par une procédure d'appel d'offres démarrée par la municipalité en place en 2012, la gestion de l'éclairage public de la ville de Grenoble, jusque-là géré par GEG, dont l'actionnaire majoritaire est la ville (le reste détenu par GDF Suez), est transférée au groupement Vinci-Bouygues. Face aux mouvements sociaux[4] des salariés de GEG et face à l'incompréhension de voir l'arrivée d'un attributaire privé au détriment d'une SEM comme GEG, le maire écologiste Éric Piolle réaffirme son souhait de remunicipaliser GEG dans un giron 100 % public[5],[6]. Cependant, lors de l'émission TéléGrenoble Isère du , Matthieu Chamussy, l'un de ses opposants au conseil municipal affirme que le coût d'une « remunicipalisation » d'une telle entreprise aurait un coût financier considérable[Combien ?] pour la collectivité[7].