Elle est mise en service en 1837 par l'administration des chemins de fer de l'État belge. C'est un arrêt sans personnel de la Société nationale des chemins de fer belges (SNCB) desservie par des trains Omnibus (L) et Heure de pointe (P).
En 1860 un nouveau bâtiment des recettes est en construction[3] et le , dans la salle d'attente de la gare de Bruxelles-Nord, a eu lieu l'adjudication de la fourniture et de la pose des portes et fenêtres du nouveau bâtiment des recettes de la gare de Malderen[4]. C'était une gare à pignons à redents comme la plupart des gares secondaires construites par les chemins de fer de l’État Belge à cette époque. Elle comptait cinq travées.
Une seconde bâtisse de plan standard à un étage, plus dépouillée et sans bâtiment de fonction, sera construite vers 1904 à côté de l'ancienne gare qui restera utilisée comme logement de fonction par le chef de gare.
Ces deux gares ont par la suite été détruites, dans les années 1960.
Service des voyageurs
Accueil
Halte SNCB[5], c'est un point d'arrêt non géré (PANG) à accès libre.
La traversée des voies et le passage d'un quai à l'autre s'effectuent par le passage à niveau routier.
Desserte
Malderen est desservie par des trains Omnibus (L) et Heure de pointe (P) de la SNCB qui effectuent des missions sur la ligne commerciale 53 (Malines - Gand[6]).
↑Xavier Heuschling, Essai sur la statistique générale de la Belgique, Établissement géographique, 1838, p. 267 lire (consulté le 7 juillet 2012).
↑(nl) Yvette Schenkel-Latoir, Jan Schenkel & Marijke Moortgat-Schenkel, Malderen lire (consulté le 7 juillet 2012)
↑Belgique, « Chemins de fer : avis, garnitures des portes et fenêtres de différents bâtiments des recettes », dans Moniteur belge : Journal officiel, 1863 p. 662 lire (consulté le 13 novembre 2018).