François Louis de Bons est issu de la famille noble de Bons[1] et est le fils du pasteur Jean Louis de Bons et de son épouse Suzanne[2]. Il naît à Morat où son père est pasteur[3]. Il épouse Élisabeth Loubier (1722-1783), d'origine huguenote à Londres en 1759[4]. Le couple a douze enfants, dont le futur général Jean-Louis de Bons (1762-1810)[5].
Formation et carrière professionnelle
François Louis de Bons fait ses études secondaires à Lausanne et s'inscrit en 1738 à l'Académie de Lausanne pour étudier la théologie. Il poursuit ses études à Leyde à partir du 24 novembre 1745[4].
Il est l'un des quatre principaux collaborateurs de la revue Aristide ou le Citoyen, publiée à Lausanne de 1766 à 1767, et publie également quelques articles de manière anonyme[4].
Il connaissait Samuel Auguste Tissot, le théologien et professeur à l'Académie de Lausanne François-Louis Allamand[6], Antoine Polier de Saint-Germain[7], Gabriel Seigneux de Correvon[8] et le duc Louis Eugène de Wurtemberg.
↑Marc Kiener, sous la dir. d'Olivier Robert, Dictionnaire des professeurs de l’Académie de Lausanne (1537-1890), t. XXXVII, Université de Lausanne, coll. « Études et documents pour servir à l'histoire de l'Université de Lausanne », (ISBN2940304017, lire en ligne).
Marc Kiener, sous la dir. d'Olivier Robert, Dictionnaire des professeurs de l’Académie de Lausanne (1537-1890), t. XXXVII, Université de Lausanne, coll. « Études et documents pour servir à l'histoire de l'Université de Lausanne », (ISBN2940304017, lire en ligne)