Frankie Sardo est né, Frank Marco Sardo, le à Brooklyn (quartier de New York dans l’État du même nom), dans une famille italo-américaine[1] d'un père, Marco Sardo Sr., maçon et d'une mère, Anita (Avianca) Sardo, femme au foyer. Il a vécu dans de nombreux endroits : Angleterre, Canada, Californie,…
Carrière musicale
Il a passé son enfance, avec ses sœurs, Marie et Antonette, au 1300 block of East 95e rue(en) à Brooklyn, New York. À 5 ans, en 1941, Frankie Sardo réalise sa première représentation musicale dans une salle de Little Italy à Manhattan. Il poursuit sa vocation dans d'autres salles tenues par des immigrants italiens, comme celle de ces parents. Après son bac, Frankie entre dans la Fork Union Military Academy(en) (FUMA), dans le Comté de Fluvanna, où il peut toujours exercer ses talents artistiques. Il fait la guerre de Corée[2] et à son retour au pays, rejoint une troupe de comédiens, puis réalise son premier enregistrement en tant que chanteur pour MGM Records en 1958[3]. Son second enregistrement, Fake Out, chez ABC-Paramount est écrit par son frère, Johnny Sardo, né en et fut un succès local.
Sardo continue sa carrière en enregistrant des chansons sous différents labels jusqu'à , parfois en collaboration avec son frère, sous le nom de groupe Frankie and Johnny[3]. Le , Frankie Sardo participe à American Bandstand sur ABC et joue son titre When The Bells Stop Ringing[5].
Carrière cinématographique
Sous le nom de « Frank Avianca »[Note 2], il entame une carrière d'acteur et de producteur. Il est crédité au générique pour avoir co-écrit de nombreuses chansons du film Les Démons de la violence en 1969.
En , Franck est interrogé par le Rock and Roll Hall of Fame sur son expérience de sa tournée avec Buddy Holly en 1959[4]. Cette interview est inclus dans le documentaire de 2014, Gotta Travel On: Remembering When the Music Died[6].
Le , Frankie Sardo meurt de cancer à Somers, New York, à l'âge de 77 ans[1].
↑ a et b(en) Charles D'Souza, « Frank Sardo Avianca, 77, Of Somers », Somers Daily Voice, obituaries, (lire en ligne).
↑ a et b(en) Larry Lehmer, The Day the Music Died : The Last Tour of Buddy Holly, the Big Bopper and Ritchie Valens, Music Sales Group, (ISBN0825672872 et 9780825672873, lire en ligne), pp.42, 119.