Après avoir été trésorier de la Fondation du 2 mars (ex-Fondation Marc Bloch), il fut administrateur de Génération République, association créée en 2001 pour mener la campagne présidentielle de Jean-Pierre Chevènement parmi la jeunesse. Sur Internet, il fut entre 2002 et 2008 un des principaux animateurs du Perroquet Libéré (site d'information à tonalité satirique sur l'actualité de la mairie de Paris) et de Observatoire du communautarisme[2],[3].
Il est intervenu dans plusieurs débats de société à travers la publication de tribunes d'opinion dans la presse, pour s'opposer à la discrimination positive[4] ou porter la contradiction aux revendications du mouvement homosexuel[5] (critiquant les revendications associatives en se réclamant d'une stricte application de principes républicains comme la séparation public/privé et le refus du communautarisme). Lors d'une audition devant la Commission des Lois de l'Assemblée nationale en , il a polémiqué sur le prétendu danger des « restrictions » apportées à la « liberté d'expression » par le vote d'une loi anti-homophobie[6].
Depuis son entrée dans l'administration[7], François Devoucoux du Buysson s'abstient de prendre position et consacre ses recherches à l'histoire de la Révolution française[8] et à des études à caractère généalogique (en particulier sur le chevalier Charles-François du Buysson).
Ouvrages
Une histoire d'amour. Essai sur la République française, L'écart, 2001, (ISBN9782846040075)[9],[10]
Delanoë, Zéro de conduite: à lire dans les embouteillages, Hugo Doc, 2006, (ISBN9782755600919)[12],[13]
Aux affiches, Citoyens ! : 1789 à 1889, les fièvres de la rue racontées par l'affiche, Editions du Mécène, 2014 (collaboration à l'ouvrage de Gaëtan de Royer), (ISBN9782358960328)