Dans les années 1980, il est dans un cycle d’études qui le voue à devenir professeur de sport. Puis, il est reçu sur entretien à l'École nationale de commerce, et bifurque vers des études de publicité. En même temps, il est DJ. Il fait également plusieurs petits boulots pour gagner de quoi payer ses études.[réf. nécessaire]
Dans les années 1990, il rencontre Jean-Pierre Igoux puis Élie Chouraqui, et commence sa carrière au cinéma comme assistant réalisateur. Il le restera une dizaine d’années (publicités, films d’entreprise, longs-métrages…) Il est également directeur de production sur des clips vidéo et réalise, en parallèle, quelques films d’entreprise.[réf. nécessaire]
En 1996, il écrit, réalise et produit son premier court-métrage L’Enfermé[1]qui remporte plusieurs prix[réf. nécessaire].
En 1998, il écrit, réalise, et co-produit le court-métrage Le Dernier[2] qui lui permettra de commencer à réaliser des films publicitaires. Par la suite il réalisera des publicités pendant presque dix ans.
Il est également intervenant dans des écoles de publicité ou d’audiovisuel.[réf. nécessaire]
De 2013 à 2015, il est président du Groupe 25images (co-présidence avec Christophe Andrei)[réf. nécessaire], association indépendante des réalisateurs de télévision. Durant ces années, l’association prône plusieurs propositions et actions, pour que la télévision française, à travers un indispensable envol créatif de sa fiction, retrouve compétitivité et qualité. Frédéric Tellier est, avec d’autres, à l’origine de la création de l’AAFA[3] (Acteurs et actrices de France associés), première association de France à représenter les acteurs[réf. nécessaire].
Parallèlement à ses activités de cinéma, Frédéric Tellier est également connu pour son engagement en faveur de la lutte contre les agressions sexuelles faites aux femmes. L'Affaire SK1 lors de sa sortie en salle puis en DVD, a d'ailleurs soutenu l’association Protection Victimes de Jean-Pierre Escarfail.[réf. nécessaire]