Formules empiriques pour la détermination des charges

Afin de cerner la résistance à l'écoulement de l'eau dans un canal, les hydrauliciens utilisent des formules empiriques pour la détermination des charges[1][réf. incomplète].

Antoine Chézy, Robert Manning, Albert Strickler et Gauckler ont proposé diverses formules pour la détermination du débit dans un canal[1][réf. incomplète].

C’est une formule qui représente souvent les cristaux et les gemmes par exemple:quartz=SiO2

Formule de Chézy

Antoine Chézy a suggéré que la résistance des écoulements dans les canaux découverts varie en fonction du périmètre mouillé et du carré de la vitesse ; il propose :

et

Le coefficient « c Â» est une constante pour un canal de rugosité donné, mais il n'est pas identique sous différentes conditions d'écoulement.

Formule de Manning

La formule de Manning est : où :

« n Â» est le coefficient de Manning et « K Â» est le coefficient de Strickler.

Nombre de Froude

Soit « V Â» la vitesse d'ecoulement et « C Â» la celérité l'onde de gravité de faible amplitude (intumescence).

Pour caractériser l'état d'écoulement, on utilise le nombre défini par Froude noté « (Fr) Â», comme le rapport de la vitesse d'écoulement dans le canal à la célérité de l'onde de gravité dans la nature[1].

Régime subcritique

si « V Â» est inférieur à « C Â» l'écoulement est dit « fluvial Â» et le nombre de Froude est inférieur à 1.

Régime critique

si « V Â» est égal à « C Â», le régime est dit « critique Â» et le nombre de Froude est égal à 1.

Régime supercritique

si « V Â» est supérieur à « C Â», l'écoulement est dit « torrentiel Â» et le nombre de Froude est supérieur à 1.

Voir aussi

Notes et références

  1. ↑ a b et c Livre de Castany.