La famille de Maurey est une famille française noble éteinte, originaire de Normandie[1] et dont la filiation est suivie depuis 1453. La famille de Maurey est éteinte depuis 2015, mais le nom a été relevé par une famille Antille devenue « Antille de Maurey »[2].
Robin de Maurey (vers 1420 - après 1457), seigneur de Saint-Jean-des-Gaudiers, est le premier auteur connu de cette famille en 1453[3].
En 1540, son arrière-petit-fils Gilles de Maurey (1510 - après 1550), seigneur de La Fangeaye, à Gacé (vicomté d'Orbec), prouve la noblesse de sa famille remontant à Robin son bisayeul, vivant en 1453[4].
Les Esquisses généalogiques, manuscrit de 1641, exposent l'histoire des premiers membres nobles aux XVe et XVIe siècles[5].
La famille de Maurey est maintenue noble le 6 avril 1666. Elle a donné des Clercs ainsi que des officiers, dont quatre chevau-légers de la garde du roi, aux XVIIe et XVIIIe siècles.
Au XIXe siècle, plusieurs membres se distinguent en Normandie dans les milieux militaires, historiques et surtout industriels, les filatures d'Incarville et de Gravigny fondées par eux ayant longtemps été l'une des principales sources d'emplois dans cette partie de l'Eure.
Branches
La famille de Maurey a formé plusieurs branches, généralement désignées par le nom d'une des seigneuries possédées, bien que ces dernières aient parfois changé de branche, comme énuméré par la Société historique et archéologique de l'Orne dans son Bulletin de 1903 :
branche du Hamel, aînée, et les sous-branches de Saint-Léger et d'Incarville ;
branche du Plessis, cadette (1570-1802), et les sous-branches du Panval (vers 1665-1786) et du Parc-Hamon (1632-1643)[6] ;
Après l'extinction des Maurey, les familles Goupil et Antille ont relevé le nom par adoption en 1991[9],[10].
Filiation
Robin de Maurey (1420-ap1457), sgr de Saint Jean des Gondiers
Jean de Maurey (av1474-ap1497), sgr de Saint Jean des Gondiers
André de Maurey (1480-ap1510)
Gilles Ier de Maurey (1510-ap1567), écuyer, sgr de La Fangeaye, de la Maugère et des Ligneris
Nicolas de Maurey (ca1550-ap1590), écuyer, sgr de La Maugère et des Ligneris
Jean de Maurey (ca. 1590-1643)
Jean Baptiste de Maurey (1628-1691/1695), écuyer, sgr du Hamel, de Planches, des Ligneris et de La Motte
Jean de Maurey (1655-1727), sgr du Hamel
Jérôme Gaspard Nicolas de Maurey (1696-1734/1757), écuyer, sgr d'Orville
Jean Baptiste de Maurey (1733-1811), écuyer, sgr d'Orville, instituteur d'Incarville
Pierre Jean François de Maurey (1758-1808), sgr d'Orville, capitaine major dans l'armée catholique et royale d'Henri de La Rochejaquelein
Jean Baptiste François de Maurey (1791-1865), sgr d'Orville, écuyer, officier au régiment d'infanterie de Clermont-Tonnerre, officier major dans l'armée catholique, brasseur, propriétaire
Jacques Antoine de Maurey (1759-1829), religieux bénédictin, inventeur et propriétaire de filature à Incarville
Georges Alexandre de Maurey (1806-1836), propriétaire de filature à Gravigny
Georges de Maurey (1761-1846), curé d’Incarville et chanoine honoraire
François Gaspard de Maurey (1701-ap1757), écuyer
Jean-Gaspard de Maurey, écuyer
Marie Anne de Maurey
Eustache de Maurey (av1668-1691/1773), écuyer, sgr de La Goumannière
Louis-Alexandre de Maurey (1694-1744), sgr de La Bussière de Gacé
Charles-Jérôme de Maurey(1740-ap1794), chevalier, sgr et cte de Maurey, de Saint-Arnoult, etc., conseiller du roi, lieutenant général au bailliage d'Exmes
Louis-André-Charles-Rémy de Maurey (1775-1799)
Marie-Louise de Maurey (ap1691-)
Charles de Maurey (ap1691-)
Jérôme de Maurey (ap1691-)
Madeleine de Maurey (ca1672-1722)
Louise de Maurey (av1668-)
Suzanne de Maurey (av1668-)
Gabriel François de Maurey (av1668-)
Charles de Maurey (-av.1715), sgr des Ligneris
François de Maurey (-av.1715), écuyer
Jean Baptiste de Maurey (1590-ca.1633), sgr de La Maugère et des Menus
Marie de Maurey
Jean II de Maurey (ca1550-1575), écuyer, sgr de La Fangeaye et du Plessis
Vincente de Maurey (ca1567-1631)
Nicolas de Maurey (ca1571-ap1650), sgr du Plessis
Marie de Maurey (1612-1693), dame du Plessis et du Parc-Hamon
André de Maurey (-1622)
Florent de Maurey (ca1571-ap1641), écuyer, sgr du Plessis et de La Fangeaye
François de Maurey (-1680)
Jacques de Maurey (1606-)
Jeanne de Maurey (1607-1649)
Gilles II de Maurey (ca1575-1650) écuyer, sgr du Plessis et de Lozier
(1) Guillaume Ier de Maurey (1607/1608-1688), sgr de Vaux et du Plessis
Samson Ier de Maurey (1639-1706), sgr du Plessis, chevau-léger de la garde du Roy
(1) Marie de Maurey (1674-)
Renée Marguerite Marie de Maurey (1678-)
Gilles Samson de Maurey (1680-)
Françoise-Elisabeth de Maurey (1682-)
Martin François de Maurey (1682-1741)
Françoise de Maurey (1708/9-1713)
Catherine de Maurey (1715-1719)
Marie Madeleine de Maurey (1717-)
François Guillaume de Maurey (1685-)
François de Maurey (1699-1713)
Martin François de Maurey (1707-)
Françoise Catherine de Maurey (1715-1719)
Marie-Madeleine de Maurey (1717-1719)
Angélique Marguerite de Maurey (1686-)
Renée Louise de Maurey (1688-1688)
(2) Geneviève Marguerite Claude de Maurey (1700-)
Françoise Angélique de Maurey (1701-ap1743)
Claude Antoine de Maurey (1702-1747), écuyer, sgr du Plessis, marié avec sa cousine Claude Catherine de MAUREY (1705-1759), dp, voir infra
François-Claude de Maurey (1727-mort jeune)
Françoise-Claude-Marguerite de Maurey (1730-1802), dame du Plessis
Gilles III de Maurey (1640-1702), écuyer, sgr du Plessis puis du Panval
Nicole de Maurey (av1668-1708/51)
Charles-Antoine Ier de Maurey (1667-1760), sgr du Plessis et de Vaunoise
Guillaume II de Maurey (ap1668-1705)
Gilles René de Maurey (1699-1724)
Claude Catherine de Maurey (1705-1759), dp, oir supra
Jérôme Guillaume (ou Guillaume Jérôme) de Maurey (ap1701-1737/1753) x1726
Charles-Antoine II de Maurey (1727-1785), écuyer, sgr et patron de Louvières, Le Ménil-Gérard, Vary et Trun en partie, chevalier de Saint-Louis, capitaine de cavalerie, chevau-léger de la garde ordinaire du roi
Anne Aimée Françoise de Maurey (1762-ap1777)
Gervais Charles de Maurey (1763-1826), écuyer, sgr du Panval, chevau-léger de la garde ordinaire du Roi, chevalier de Saint-Louis
Anne Charles Aimé de Maurey (1818-)
Martine Mélanie de Maurey (1820-1864)
Laurent Gervais Aimé de Maurey (1823-1868)
Raoul Ernest Laurent Cyrille de Maurey (1849-1935), garde en 1870
Raoul Ernest de Maurey (1874-1899)
Raphaël André de Maurey (1895-1930)
Micheline de Maurey (1923-1923)
Micheline de Maurey (1923-2010)
Marcel Charles de Maurey (1882-)
(1) Alice Marie Amélie de Maurey (1850-1912)
Amante Ernestine Fanny de Maurey (1853-1909)
(2) Henri Aimé Marcel de Maurey (1855-1929)
Robert Henry Louis de Maurey (1826-1877)
Marie Léontine Adélaïde de Maurey (1845-1911)
Charles-Aimé de Maurey (1768-1827), écuyer, sgr du Parc-Hamon, mineur anticipé
Charlotte-Aimée de Maurey (1769-ap1786)
Louis Jacques Claude de Maurey (ca1735-ap1755), religieux cistercien
Perrine Françoise Marie Charlotte de Maurey (1737-1779)
Françoise Marthe de Maurey des Bois (1743-ap1775)
François-Jérôme de Maurey (1743-ap1783), écuyer, chevau-léger de la garde du Roi
Jean V de Maurey (ap1670-ap1703), sgr du Hamel
Anne-Antoinette de Maurey (-ap1693)
Marie de Maurey (1642-ap1662)
Pierre Ier de Maurey (1644-1680), écuyer, 1er sieur de Panval, dp illég.
Samson II de Maurey (1645-1692), écuyer, sgr indivis du Plessis
Marie de Maurey (-ap1673)
Jacques de Maurey (1608-)
André III de Maurey (1613-ap1620)
René de Maurey (1616-)
Florence de Maurey (ca1620-ap1676)
Jacques de Maurey (1621-)
(2) Elisabeth de Maurey (1622-1705)
Personnalités
Quatre chevau-légers de la garde du Roi[11] dont deux chevaliers de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis : Samson Ier de maurey (ca. 1639-1706), seigneur du Plessis ; ses arrière-petits-neveux François-Jérôme de Maurey (1730-ap.1773), écuyer, et Charles Antoine II de Maurey (1727-1785), écuyer, seigneur et patron de Louvières, Le Ménil-Gérard, Vary et Trun en partie, chevalier de Saint-Louis, capitaine de cavalerie ; et le fils de ce dernier : Gervais Charles de Maurey (1763-1826), écuyer, seigneur du Panval, chevalier de Saint-Louis.
Pierre II de Maurey (baptisé le à Alençon ; décédé le à Incarville), aîné, fils de Jean-Baptiste, et de Marie-Louise Blessebois de La Garenne, père d'une nombreuse descendance. Édifié par le martyre de son parent[16], l’abbé Louis-Joseph du Portail de La Besnardières (1740-1792)[17],[18], curé de Bellême exécuté sur le parvis de son église à la hache par un révolutionnaire, il rejoint l’Armée Catholique et Royale d'Henri de La Rochejaquelein (1772-1794) en qualité de capitaine-major.
dom Jacques-Antoine de Maurey (1759-1829), frère du précédent, appelé aussi Demaurey d’Incarville[19], marque par ses inventions l’histoire du pré-machinisme et de l’industrie naissante[20]. Il est reçu à l'Académie des sciences, belles lettres et arts de Rouen[21]; il devient profès à Saint-Denys en France le 18 novembre 1780[22] et religieux à l'abbaye de Fécamp. Il se retira à Incarville, lorsqu'il fut chassé de son abbaye durant la Révolution, se marie puis obtient, grâce au chanoine Fresnay (vicaire général d'Evreux) et au cardinal Caprara, la régularisation de sa reduction à l'état laïc par le Saint-Siège en 1803. Lié à l’abbé Grégoire, à Francois de Neufchâteau, à Defontenay, au baron Ternaux, à Decrétot et autres industriels du textile qui développèrent les chambres de métiers à tisser, ses inventions marquent le passage du métier à l’industrie (filage du lin substitué au coton anglais, cardage et filature de la laine). Il obtient une médaille de 400 fr. le 8 août 1810, 1200 fr. le 19 août 1812 puis le 17 août 1814 un brevet d'invention pour une machine à peigner la laine, le lin et les déchets de soie, et reçoit un prix de la Société d'Encouragement[23] et 3000 fr[24]. Il fonde la confrérie de saint Roch, patron des tisserands incarvillais, qui furent les premiers à utiliser des métiers mécaniques pour tisser le drap. Marié à Marie-Barbe Alexandre (1770-1859) en 1796, il en eut quatre enfants, dont Georges-Alexandre, propriétaire d'une filature à Gravigny. «Ce mécanicien, témoigne M. Ternaux cité par M. Mérimée à la remise d'un prix en 1812, aussi modeste qu'il est plein de talents, aussi laborieux qu'il est expérimenté[23] », «si connu pour les progrès qu'il a fait faire à la filature de la laine, est regardé », selon le général Poncelet, « comme le premier qui, dès l'époque de 1797, ait entrepris d'une manière sérieuse, en France, de composer un système de machines propres à filer le lin»[25].
Abbé Georges de Maurey (baptisé le 16 mai 1761 à Alençon ; décédé le à Incarville), benjamin de Jacques-Antoine, curé perpétuel d'Incarville et chanoine d'honneur. Il est jureur sous la Révolution et officier public en octobre 1792 mais demeure dans les Ordres jusqu'à sa mort. Il repose avec son frère Jacques au cimetière d'Incarville.
Charles-Jérôme de Maurey (né le 19 novembre 1740 à Gacé en Normandie ; mort après 1794)[26],[27] , chevalier, seigneur de Saint-Arnoult, etc., conseiller du Roi, lieutenant général, en particulier ancien civil et criminel, enquêteur et commissaire examinateur au bailliage d'Exmes. Marié le 25 janvier 1773 à Exmes à Louise-Charlotte-Julie de Lantivy (1757-1800), il émigre à la Révolution, tandis que son épouse, retirée au couvent de Buron, est contrainte d'épouser en septembre 1794 son geôlier, l'apostat Louis-Jacques Davière (moine à Fontevrault, confesseur de la comtesse, curé constitutionnel d'Azé puis agent révolutionnaire) pour échapper à sa condamnation à mort et celle de sa propre mère. Leur fils Louis-André-Charles-Remi de Maurey, chasseur au 12e régiment de chasseurs à cheval[28], meurt à 25 ans (1774-1799) à Leibdingen ou Luciensteig.
Vitrail de l'église d'Incarville en hommage à Jacques de Maurey.
Rue Jacques de Maurey à Incarville.
Abbé de Maurey, curé d'Incarville.
Tombe de l'abbé Georges de Maurey, de son frère Jacques et du gendre de ce dernier, Pierre-Hippolyte Boutigny, à Incarville.
Manoir du Plessis-en-Faye.
Possessions
La famille de Maurey a possédé au cours de son histoire plusieurs châteaux ou maisons fortes, dans les seigneuries qu'elle détenait : Saint Pierre de Cernières, La Fangeaye (souvent écrit La Faugaye), La Maugerie, La Motte, Le Hamel, Les Ligneries, Orville, Planches, Le Plessis[6] et Saint-Jean des Gaudières.
Armes
D'azur à trois bourdons de pèlerin d'argent rangés en fasce.[29],[27],[1]
Sources
Bibliographie
Archives en Ligne, département de l'Orne, ville de Sées, année 1832, page 191.
Bernard Chérin et Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin) et Berthier (Fils), Recueil de certificats de noblesse délivrés par mm. Chérin père, Berthier et Chérin fils, successivament généalogiste des Ordres du Roi, pour l'admission au service militaire, en conséquence de la décision de sa Majesté Louis XVI, en date du 21 mai 1781, mis en ordre alphabétique par M. du Prat-Taxis, Paris, Chez l'Auteur, et chez Bleuet, 1815, 404 p..
Chevalier Jean-Baptiste-Pierre Courcelles (généalogiste honoraire du Roi), Histoire généalogique et héraldique des pairs de France, des grands dignitaires de la Couronne, des principales familles nobles du royaume, t. 7, Paris, Chez l'auteur et Arthus Bertrand Libraire, 1826, p. 12,
Esquisses généalogiques concernant un grand nombre de familles alliées entre elles, Paris, J.-B. Dumoulin, Libraire, 1848, 300 p..
Édouard Frère, Manuel du bibliographe normand ou dictionnaire bibliographique et historique, t. 2, Rouen, A. Le Brument, , 632 p. (lire en ligne), p. 293.
René Jouanne, Un inventeur alençonnais, .
Recherches généalogiques, 1641 (sur les origines de la famille de Maurey)
Fernand de Saint-Simon, Dictionnaire de la Noblesse française, , p. 269.
Étienne de Séréville et Fernand de Saint-Simon, Dictionnaire de la Noblesse française, , p. 706.
Jean Vidalenc, La petite métallurgie rurale en Haute Normandie sous l'Ancien Régime, .
↑ a et bSociété historique et archéologique de l'Orne, « Maurey », Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne, Alençon-Paris, Lecoq & Mathorel, vol. 22, 1er bulletin, , p. 255-270 (lire en ligne)
↑Cherin (père et fils) et Berthier, Recueil de certificats de noblesse délivrés par mm. Chérin père, Berthier et Chérin fils, successivament généalogiste des Ordres du Roi, pour l'admission au service militaire, en conséquence de la décision de sa Majesté Louis XVI, en date du 21 mai 1781, mis en ordre alphabétique par M. du Prat-Taxis, Paris, Chez l'Auteur, et chez Bleuet, , 404 p. (lire en ligne), p. 264
↑Société historique et archéologique de l'Orne, Bulletin, (lire en ligne)
↑Tribunal de grande instance de Lisieux, Jugement, Lisieux,
↑Arnaud Clement, La Noblesse Française, Dictionnaire & Armorial de la noblesse française contemporaine, , 851 p. (lire en ligne), p. 408
↑"Les chevau-légers sont le seul corps de la Maison du roi où, pendant presque tout le XVIIIe siècle, les hommes du rang doivent impérativement être nobles." (Benoit Defauconpret, Les preuves de noblesse au XVIIIe siècle , ICC, 1999, page 120).
↑Loriol, La France. Description géographique, statistique et topographique - Orne par M. Odolant-Desnos, Paris, Verdière, (lire en ligne), p. XXIX
↑Charles Vérel, « Silhouettes normandes - Annibal Olivier », Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne, Alençon, Typographie Renaut-Debroise, , t. XVII, 1er bulletin, p. 486, note 1 (lire en ligne)
↑, d'une histoire de l'abbaye de La Trappe, d'une vie de Rancé et de nombreuses poésies parues dans La Muse de Falaise lEdouard Frere, Manuel du bibliographe normand ou Dictionnaire bibliographique et historique, Rouen, New York, Burt Frankin, , 632 p. (lire en ligne), t. II (G-Z), p. 293
↑Son cousin éloigné (au 6e degré), mais aussi cousin issu de germain de sa femme Eléonore du Mouchet, épousée en 1790.
↑René Jouanne, « Un inventeur alençonnais : Jacques-Antoine de Maurey (1757-1829) », Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne, , p. 376-386 (lire en ligne)
↑D.M. Gosseaume, Précis analytique des travaux de l'Académie royale des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Rouen, Rouen, P. Périaux Père, , 399 p. (lire en ligne), t. V (1781-1793), pp. 223-224
↑Dom Denis, « Les Bénédictins de Saint-Maur », Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne, t. xxxi, 1912, p. 311-312, n° 8.399
↑ a et bJ.-N. Barbier-Vémars, Annales des Arts et Manufactures, Paris, Chaigneau Aîné, (lire en ligne), t. 46, n° 136, pp. 34-54
↑J.-N. Barbier-Vémars, Annales des Arts et Manufactures, Paris, Bureau des Annales, (lire en ligne), t. I, n° 3, pp. 252-277
↑Général Poncelet, Exposition universelle de 1851, Travaux de la Commission française sur l'industrie des nations, Paris, Imprimerie impériale, , 506 p. (lire en ligne), t. III, 1re partie, 2e section, 2e partie "Machines et outils appliqués aux arts textiles" (6e jury), p. 153.
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↑ a et bThéodore Courtaux et le comte de Lantivy de Trédion, Histoire généalogique de la Maison de Lantivy, Paris, Cabinet de l'Historiographie, , 400 p. (lire en ligne), p. 191