L'exhumation peut aussi être un acte formel en vertu d'un procès en béatification afin de vérifier l'incorruptibilité du corps.
L'exhumation peut, enfin, faire partie d'un rite funéraire, comme à Madagascar avec le famadihana (retournement des morts), ou au Vietnam[2] avec le Bốc mộ[3]. La dépouille est ensuite réenterrée.
↑(en) Tine M. Gammeltoft, chap. 3 « Between Remembering and Forgetting : Maintaining moral motherhood after late-term abortion », dans Andrea M. Whittaker (dir.), Abortion in Asia : Local Dilemmas, Global Politics, New York et Oxford, Berghahn Books, coll. « Fertility, Reproduction, and Sexuality » (no 20), , 253 p. (ISBN978-1-84545-734-1, DOI10.1515/9781845459758-006), p. 56–77, « ‘To Bury the Dead Means to Create a New House for Them’: Death Rituals in Vietnam », p. 61 [lire en ligne].