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En grandissant, Ewa devient scoute et adjointe de l'équipe scoute féminine de Varsovie, ainsi que sportive et pilote de planeur[3]. En 1937, elle est diplômée du State Junior High School[4].
Ewa participe activement à la tentative d'élimination du SchutzstaffelRottenführer Alfred Milke durant l'Alfred Milke(pl), menée le 5octobre 1943. Bien que la cible ne soit pas présente sur les lieux de l'attaque, le commando de résistants dont Ewa fait partie rencontrent le SS Obersturmführer Joseph Lechner et le tuent[3].
Au début de l'Insurrection de Varsovie, Ewa Matuszewska est nommée cheffe des installations sanitaires du régiment « Baszta », et sergente adjointe de K. Grzybowski, dit "Misiewicz", médecin de la compagnie O-2 du bataillon "Olza". Ewa participe activement aux soins aux blessés et aux combats au cours des deux mois suivants, et est elle-même blessée lors d'un de ces combats[6].
Le 26 septembre 1944, la Wehrmacht encercle et attaque massivement le bâtiment 117/119 situé sur l'Aleja Niepodległości où se trouvent les installations sanitaires du régiment « Baszta ». Ewa Matuszewska, plus haute gradée présente, dirige et coordonne la défense. Elle succombe au cours de cette bataille avec tous les résistants polonais présents en affrontant directement l'ennemi. Les patients de ce bâtiment, non-armés, sont massacrés par les vainqueurs[6],[7].
Ewa Matuszewska est aussi la fille adoptive du général Ludomił Rayski(en). Ewa est très proche de ses parents et de son beau-père, qui sont dévastés et fiers en apprenant sa mort au combat à l'âge de 25 ans [9].
Une plaque commémorative sur la maison familiale à Varsovie est dévoilée le 27 septembre 2014[11].
Une plaque commémorative sur la place Stanisław Broniewski "Orsza" dans la rue Puławska à Varsovie, dévoilée en octobre 2010[11].
Sources et références
↑[„Największym umiłowaniem jego życia – wspominał po śmierci Matuszewskiego Bohdan Podoski – była jedyna córka Ewa. Ofiarował jej kiedyś to, co cenił najwięcej – krzyże Virtuti Militari, pradziadowski i własny. Młoda dziewczyna zginęła w Powstaniu Warszawskim. Padła na posterunku jako sanitariuszka, opatrując rannych żołnierzy Armii Krajowej. Zagarnięta przez Niemców, których się nie ulękła, do końca wypełniając obowiązek, została przez nich rozstrzelana za „zbrodnię” okazania pomocy „ludziom wyjętym spod prawa”. Ojcowski i pradziadowski Krzyż Virtuti Militari nie na
darmo zdobił jej pokoik dziewczęcy” Bohdan Podoski, Śp. Ignacy Matuszewski, „Ochotniczka”, Rzym, IX 1946, nr 9, s. 11−12. za: Andrzej Krzysztof Kunert, Pułkownik Matuszewski. Jedna rodzina – trzy Virtuti. w: Przegląd Bezpieczeństwa Wewnętrznego 7/12, Warszawa 2012, s.214 wersja zdigitalizowana
Ewa Marcina Gieniusz CSIC : Ewa Matuszewska "La Mouette" . Varsovie : Institut de la Mémoire nationale , 2021. (ISBN978-83-8229-239-8) .
Andrzej Krzysztof Kunert : Chevaliers de l'Ordre Militaire de Virtutu Militari - Insurrection de Varsovie. Dans : ouvrage collectif : La Grande Encyclopédie illustrée de l'Insurrection de Varsovie . Vol. 4. Varsovie : Ars Print Production sc, 1997. (ISBN83-87224-00-6) .
Hanna Michalska, Maria Stopień, Bożena Tazbir-Tomaszewska, Wanda Turkowska, Wacława Zastocka : Dictionnaire des participants à la lutte pour l'indépendance polonaise 1939-1945. Tombé et décédé pendant l'occupation allemande . Varsovie : Institut national de l'édition, 1988. (ISBN83-06-01195-3) .
Dictionnaire biographique des femmes décorées de l'Ordre militaire de Virtuti Militari . Elżbieta Zawacka (éd.). Tome II : HO. Toruń : Fondation « Archives et musée de l'armée intérieure de Poméranie et service militaire des femmes », 2005. (ISBN83-88693-08-5) .