Le , elle reçoit, à l'occasion de la 52ebiennale de Venise, le Lion d’Or de l’artiste de moins de 40 ans.
Le jury souligne avoir voulu saluer un travail qui « s'intéresse à l'exil en général et à la question palestinienne en particulier. Sans avoir recours à l'exotisme, le travail proposé au pavillon central des Giardini met en place et développe une rencontre entre cinéma, archives documentaires, narration et matière sonore[1]. »