Les personnes lesbiennes, gays, bisexuelles et transgenres (LGBT) à Oman peuvent faire face à des difficultés légales que ne connaissent pas les résidents non-LGBT.
Bien que le sultan Qabus ibn Saïd ait été souvent présenté comme homosexuel par la presse occidentale[1],[2],[3], l'homosexualité est illégale et les sujets LGBT demeurent tabous à Oman.
D'après le code pénal, l'homosexualité peut être punie d'une peine de prison allant jusqu'à trois ans.
En 2013, un journal d'Oman a été suspendu pour avoir publié un article favorable sur l'homosexualité[4],[5].
Le quotidien France-Soir indique cependant : « Qabous ben Saïd ne fait rien comme ses homologues des pays du Golfe. Divorcé, sans enfants, presque ouvertement gay, il laisse à son peuple la liberté de culte et ne réprime que très peu l'adultère et l'homosexualité, bien que ceux-ci soient encore considérés officiellement comme des délits. »[6],[7].
Reconnaissance légale des couples homosexuels
Les couples homosexuels ne bénéficient d'aucune reconnaissance légale.