Il se lance dans l'illustration et commence à publier ses albums pour l'enfance et la jeunesse, qu'il écrit et illustre en s'inspirant de la vie quotidienne dans son pays natal[2],[3]. « Cet artiste africain propose une démarche multiculturelle et une réponse écologique aux défis que pose la France postcoloniale à la jeunesse[4]. »
En 2005, il est accueilli en résidence d'artiste à Douai[5].
Il vit à Londres. « Dominique Mwankumi est l'un des auteurs d'origine congolaise les plus lus actuellement […], dans son genre de prédilection : les albums illustrés[6]. »
Christophe Cassiau-Haurie, Histoire de la bande dessinée congolaise: Congo belge, Zaïre, République démocratique du Congo, L'Harmattan, 2010.
Anne Cirella-Urrutia, « Les relations de l’enfant à la Terre dans l’estuaire congolais des albums de jeunesse de Dominique Mwankumi : un enjeu multiculturel et écologique », in Nathalie Prince et Sébastian Thiltges (dir.), Éco-graphies, Écologie et littératures pour la jeunesse, Presses universitaires de Rennes, 2018, p. 260-270.
Jean-Jacques Arthur Malu-Malu, Le Congo Kinshasa, Editions Karthala, 2014.
↑« Dominique Mwankumi », sur Lirenval, Salon du livre de la Haute Vallée de Chevreuse (consulté le ).
↑Anne Cirella-Urrutia, « Lecture écocritique des paysages de l'enfance dans les albums illustrés de Dominique Mwankumi », in Etienne-Marie Lassi (dir.), Aspects écocritiques de l'imaginaire africain, African Books Collective, 2013, p. 119.