En 2007, elle débute l'escrime après avoir rencontré Serge Laher qui l'initie et devient son maître d'armes au club de Quimper Cornouaille dans le Finistère jusqu'en 2013. Elle rejoint alors le Toulouse Université Club (TUC) où elle évolue sous la direction de Brigitte Aragou.
En 2006, Delphine Bernard rencontre par hasard maître Serge Laher, grâce à un forum des associations où elle était venue car elle cherchait à pratiquer un sport dans sa ville[réf. nécessaire]. Celui-ci l'initie à l'escrime handisport, discipline sportive paralympique ouvertes aux handicapés moteurs depuis 1960 et qu'elle débute en 2007[1]. Sous sa direction, elle parvient à disputer les Coupes du monde[2], puis en 2012, elle termine à la cinquième place de l'épreuve de fleuret des Jeux paralympiques 2012 de Londres[1]. Elle participe ensuite aux championnats du monde en 2013 à Budapest[3].
En , elle rejoint le Toulouse Université Club (TUC) où elle évolue sous la direction de Brigitte Aragou[4]. Son entrainement, 9 heures par semaine sous la direction de Serge Laher au club de Quimper[5] passe à quatre entrainements par semaine au TUC, en assauts libres ou à thèmes avec des valides et handis. Elle reçoit des leçons individuelles ou collectives avec son maitre d'armes, Brigitte Aragou[6].
Elle participe aux championnats d'Europe de Strasbourg où elle obtient une cinquième place[7].
Delphine Bernard est membre de l'association HOPE fondée par un de ses amis[réf. nécessaire]. Cette association a pour but de promouvoir l'intégration des personnes en situation de handicap moteur à travers la compétition et aussi de soutenir les sportifs qui vont participer aux Jeux paralympiques.
Style
L'escrime handisport est devenue sa passion, elle a le goût de la compétition et de la victoire. En escrime, il faut être malin, précis, avoir un bon mental, savoir s'adapter[9], mais aussi être concentré, rapide, précis[5].
Delphine Bernard veut développer une politique sportive qui favoriserait l'intégration des personnes en situation de handicap, ce qui provoquerait une véritable révolution culturelle dans le monde du sport selon elle[10].