En 1996, il est contrôlé positif au stanozolol, une forme de stéroïde anabolisant, en marge du meeting d'Hengelo. Déclarant avoir été dopé à son insu, Capobianco est dans un premier temps blanchi par un arbitre indépendant de l'IAAF, ce qui lui permet de participer aux Jeux olympiques d'Atlanta. En 1997, il est finalement reconnu coupable de dopage et est suspendu en mars[1]. Tous ses résultats obtenus depuis la date du contrôle sont alors annulés. Sa suspension sera ensuite réduite à 2 ans par l'IAAF[2].