Sa position sur les limites de la prééminence du libre échange dans le « consensus de Washington » peut se résumer par la déclaration que si le libre échange est bien la meilleure solution dans le monde idéalisé des théories économiques standards, le monde réel est loin de cet idéal, et cela a pour conséquence que des politiques alternatives peuvent s'y avérer plus performantes que le pur libre échange[1].
(en) Economics Rules : The Rights and Wrongs of the Dismal Science, W. W. Norton & Company, , 272 p. (ISBN978-0-393-24641-4); trad. française: Peut-on faire confiance aux économistes ? : réussites et échecs de la science économique (trad. de l'anglais), Louvain-la-Neuve, De Boeck Université, , 280 p. (ISBN978-2-8073-0579-3, lire en ligne)
Nations et mondialisation : les stratégies nationales de développement dans un monde globalisé (trad. de l'anglais), Paris, La Découverte, , 192 p. (ISBN978-2-7071-5597-9)(réunit 4 articles publiés dans diverses revues).
(en) McMillan, Margaret; Horn, Karen; and Rodrik, Dani, « When Economic Reform Goes Wrong: Cashews in Mozambique », Brookings Trade Forum 2003, , p. 97–165
(en) Dani Rodrik, « The Global Governance of Trade As If Development Really Mattered », UNDP, (lire en ligne)
(en) Rodrik, Dani, The New Global Economy and Developing Countries : Making Openness Work, Overseas Development Council, , 180 p. (ISBN978-1-56517-027-8)
(en) Rodrik, Dani, Has Globalization Gone Too Far?, Institute for International Economics, , 108 p. (ISBN978-0-88132-241-5)