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Il est tout d'abord influencé par Marc Edmund Jones[1], puis par Carl Gustav Jung[2]. Ami d'Alice Bailey, il est à l'origine de plusieurs concepts utilisés par le New Age[1]. Il est considéré comme le père de l'astrologie humaniste[3]. Richard Tarnas a affirmé que « Jung et Rudhyar étaient les personnages clés d'une astrologie plus sophistiquée psychologiquement parlant »[4].
Il croyait que le but de l'astrologie était de « transformer la nature chaotique de l'homme en un microcosme ordonné »[2]. Rudhyar pensait l'astrologie comme l'étude de principes d'organisation agissant dans tout système[2]. Selon lui, l'astrologie était une voie démontrant à l'homme son interconnexion et son interdépendance[5].
Il a publié environ 40 ouvrages. Selon l'astrologue Jany Bessière, Rudhyar « restera probablement encore longtemps la figure emblématique de l'astrologie moderne telle qu'apparue et enseignée depuis les années (19)50 »[2].
Également compositeur, il a signé plusieurs séries regroupant de courtes œuvres pour piano : Tetragram (1920–1967), Pentagram (1924–1926), Syntony (1919–1924, révisé en 1967) et Granites (1929). En 1978, il a reçu le grand prix de l’académie des arts et des lettres pour l'ensemble de son œuvre musicale[6].
Sous son patronyme, il a publié une étude sur Claude Debussy.