Le patron d'une grande institution financière, David Sex King, est dans la chambre d'un hôtel de luxe et a un rapport sexuel consenti avec une femme de chambre venue faire le ménage. Cette dernière, disant qu'elle a été abusée, appelle la police et David Sex King est emprisonné. Dans la prison, les policiers ont des rapports sexuels avec des prostituées du carnet d'adresses de David Sex King, puis la femme de ce dernier, avec l'un des deux avocats de son mari. Enfin, au tribunal, l'audience se transforme en partouze générale[1],[2],[3].
Le film est financé en partie par les internautes du site MyPornProductions[6],[5].
Pour Quentin Girard, journaliste à Libération, le film « penche délibérément du côté de l'ex-patron du FMI » car « les producteurs s'exposent moins à des poursuites éventuelles ». Il explique cela parce qu'une « scène de viol serait difficile à promouvoir pour un porno » et que le film se contente de se conformer aux codes habituels du porno, qui mettent souvent en scène « un rapport de domination de l'homme sur la femme »[1]. Il ajoute que le scénario « privilégie le côté vénal de Nafissatou Diallo »[2].