au Mexique, des membres du groupe d'autodéfense Pueblos Unidos s’introduisent par effraction dans la prison de Tula de Allende en utilisant des voitures béliers, qu'ils font par la suite exploser. 9 détenus (dont le chef du groupe José Antonio Maldonado Mejia, surnommé El Michoacano) sont libérés et 2 policiers sont blessés au cours de l'opération[1] ;
2 décembre : les forces de défense et la police néo-zélandaises se rendent à Honiara, aux Îles Salomon, pour aider à stabiliser le pays et à maintenir la paix après des jours d'émeutes, de pillages et de troubles, qui ont fait trois morts[4].
en Irak, quatre civils sont tués et quatre autres blessés dans un attentat à la moto piégée perpétré à proximité d'un hôpital de Bassorah[9] ;
au Kenya, l'officier de police Benson Imbatu (ancien garde du corps du président Mwai Kibaki[10]) tue 6 personnes (dont sa femme) et en blesse 2 autres avec son arme de service avant de se suicider à Kabete(en)[11] ;
au Nigeria, des bandits tendent une embuscade à un bus de passagers dans l'État de Sokoto avant d'y mettre le feu, tuant ainsi une trentaine de personnes dont des femmes et des enfants[12] ;
13 décembre : en Russie, douze personnes sont blessées lorsqu'un adolescent fait exploser un engin explosif dans une école orthodoxe à Serpoukhov, L'agresseur est identifié comme un ancien élève de l'école[réf. nécessaire].
23 décembre : au Burkina Faso, le président Roch Marc Christian Kaboré décrète un deuil national de 48 heures après le massacre de 41 personnes dans une attaque attribuée aux groupes djihadistes. Des commerçants sous escorte de supplétifs civils de l’armée sont tombés dans une embuscade, alors qu’ils tentaient de ravitailler la commune de Titao, dont les accès étaient sous le contrôle des groupes armés[20].
En République démocratique du Congo, un kamikaze se fait exploser dans un restaurant lors des célébrations de Noël à Beni, tuant cinq personnes et en blessant 13 autres[21].