Ami de Jean-François Champollion, il présente le à son Académie une application du déchiffrement des hiéroglyphes à des pièces du musée royal égyptien de Turin. Sollicité pour participer à l'expédition de Champollion en Egypte planifiée pour 1827, il doit renoncer[2].
Ses ouvrages sont en grande partie consacrés à l’archéologie et à la bibliographie. Chercheur patient de l’histoire du Piémont, il étudie l’origine des villages, des ruines et des châteaux, et est remarqué pour ses travaux sur la forteresse des comtes de Desana au Piémont.
Notes et références
↑Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 3e année, 1859. pp. 143-144 [1]
↑Jean Leclant Jean, « Aux sources de l'égyptologie européenne : Champollion, Young, Rosellini, Lepsius », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 135e année, N. 4, 1991. pp. 743-762 [2], pp. 751, 755