Elle commence à publier ses romans dans les années 1930. Ses premiers textes étaient destinés à apprendre le français à des enfants allemands. Son roman La Maison des petits bonheurs obtient le Prix Jeunesse en 1939. Dans les années 1940, elle écrit pour l’Almanach du gai savoir pour enfants.
Elle a épousé en 1925 Jean Duval[3], décédé en 1957[4], professeur agrégé de lettres, dont elle a partagé les activités clandestines pendant l'Occupation, et dont elle a eu un fils, André[5].
1946 : La Maison des quatre vents, illustrations d'Henri Crespi éd. Hier et Aujourd’hui, 1946 ; réédition G. P., coll. « Rouge et Or Souveraine », no 215, illustrations de Jacques Pecnard, 1965, avec modifications et avant-propos; réédition en 1974 ; réédition aux éditions Casterman, avec modification d'André Duval (fils de l'autrice), 2000; réédition avec illustrations de Serge Bloch, Casterman,2012.
1946 : Les Compagnons du Monomotapa, illustrations d'André Pécoud, Hachette, collection Bibliothèque rose illustrée, 282 pages.
1950 : La Grande Roue, G. T. Rageot, Éditions de l'Amitié, coll. « Heures Joyeuses », illustré par Ival, 246 Pages. Réédition collection Rouge et Or Souveraine no 313, 1972. Illustré par Jacques Pecnard.
1952 : Rémi et le fantôme, Paris, édit. Bourrelier, collection Marjolaine, illustrations de J. Besson, roman, 174 pages. Réédition Éditions La Farandole, 1966, illustrations de Jacques Kamb.
1954 : La Maison du loup, Paris ; G. T. Rageot, Éditions de l'Amitié, coll. « Heures Joyeuses », no 96, illustrations Michel Jouin; réédition : Éditions de l'Amitié, coll. « Bibliothèque de l'Amitié », illustrations de Françoise Estachy, 1968; réédition: Éditions G. P., collection Rouge et Or, 1996.
1964 : Les Dix Voyages d’Antoine, Éditions La Farandole, illustrations de Janusz Grabianski, album, 16 pages.
1968 : Le Petit Théâtre, Éditions La Farandole.
1973 : Lulu, qu’est-ce que tu as perdu ?.
1975 : Les Martiens et autres histoires, Éditions La Farandole, illustrations de Jean Garonnaire.
1975 : Les Trois Pêches.
1976 : La Nuit des surprises, et autres histoires, Paris, éditions La Farandole.
???? : Bonjour Marion (réécriture 1976 d’Entrez dans la danse, dans la Bibliothèque Rouge et Or Souveraine ; le personnage de la tante Fée n’y a pas d’équivalent).
1972 : (international) « Hightly Commended Authors »[6], par l' IBBY, pour l'ensemble de son œuvre
1974 : (international) « Hightly Commended Authors »[6], par l' IBBY, pour l'ensemble de son œuvre
Postérité
Plusieurs bibliothèques pour enfants portent le nom de Colette Vivier[7] (à Maromme, à Saint-Jean-de-la-Ruelle). La bibliothèque Brochant, dans le 17e arrondissement de Paris, a été renommée Bibliothèque Colette Vivier en 2010.
Notes et références
↑Vivier est le nom de jeune fille de sa mère, née Hélène Vivier.