En , Georges Peignot transforme en caractères d’imprimerie des lettres gravées à la main par le graveur Charles-Nicolas Cochin (-), qui n’était pas créateur de caractères. Il fait appel pour cela à un graveur de poinçons réputé, Charles Malin. Ils réaliseront ensuite la police Nicolas-Cochin, une variante. Deux ans plus tard, la Gazette du Bon Ton de Brunhoff et Vogel utilise quatre alphabets Cochin[1],[2].
↑Françoise Tétart-Vittu, « La Gazette du Bon Ton », Encyclopædia Universalis, consulté le 25 décembre 2013 (lire en ligne [archive payante]) : « La Gazette est éditée […]. Imprimées sur feuillets détachés avec les caractères tout nouveaux inventés par Georges Peignot. »
Annexes
Bibliographie
Jean-Luc Froissart, L’Or, l’âme et les cendres du plomb, L’Épopée des Peignot : 1815 - 1983, Paris, Tekhnê, , 400 p. (ISBN978-2952283601, présentation en ligne).