Elle effectue sa recherche au laboratoire Jean Kuntzmann[3] à Grenoble au sein de l'équipe Institut national de recherche en informatique et en automatique (Inria) Airsea[4]. Elle enseigne les mathématiques, essentiellement à l'Université Grenoble Alpes dans les filières de mathématiques et de biologie[5].
Elle est notamment directrice de plusieurs thèses et présidente de jurys de soutenance[1],[6].
Travaux
Clémentine Prieur travaille sur l'analyse de sensibilité, les méthodes statistiques[7] et processus stochastiques. Elle s'intéresse à comprendre et analyser les conséquences du réchauffement climatique sur notre environnement, qui constitue un véritable défi pour la communauté scientifique[8],[9].
Plus récemment elle s'attache à l'analyse de la dynamique de pandémie du COVID19[10] et a fait plusieurs interventions dans la presse nationale sur ce sujet, comme dans le journal du CNRS[11], le Figaro[12], et Huffingtonpost[13].
Clémentine Prieur a publié de nombreux travaux en français et en anglais[14],[15] et a co-signé un ouvrage intitulé Weak Dependance: With Examples and Applications[16] publié par Springer en 2007.
↑(en) Jérome Dedecker, Paul Doukhan, Gabriel Lang et José Rafael Leon, Weak Dependence: With Examples and Applications, Springer-Verlag, coll. « Lecture Notes in Statistics », (ISBN978-0-387-69951-6, lire en ligne).