En 2015, elle explique le rapport de la Cour des Comptes qui souligne le manque d'effort français dans le domaine des soins palliatifs, notamment en raison de la tarification à l'activité[2].
Elle est présidente de la SFAP depuis 2019[4]. Dans les suites du congrès de 2022, elle explique l'importance de l'universalité d’accès de ces soins[5].
En 2020, elle publie une tribune dans Le Monde pour un meilleur accès aux soins palliatifs[6].
En 2023, lors de sa participation à la convention citoyenne sur la fin de vie, elle s'oppose à la légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté[7], la loi ne pouvant répondre à toutes ces questions sur la fin de vie selon elle[8]. Elle regrette également le manque de moyen pour accéder aux soins palliatifs en France[9]. Sur Aleteia, elle commente l’avis du Comité consultatif national d’éthique (CCNE) qui ne s'oppose pas à l'aide à la fin de vie[10]. Le Figaro publie deux tribunes signées par Claire Fourcade sur le sujet, réagissant à la conclusion de la convention citoyenne[11] et demandant à ce que les soignants soient écoutés[12]. Lorsque le texte de l’avant-projet de loi sur la fin de vie est rendu publique, elle regrette que le monde soignant soit ignoré[13].
↑« Claire Fourcade : « Pour un accès généralisé à des soins palliatifs de qualité à domicile » », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑Claire Fourcade, « Fin de vie : « Je ne peux pas être celle qui te fera mourir », l’émouvante lettre de Claire Fourcade », La Croix, (ISSN0242-6056, lire en ligne, consulté le )