Le Reniement de Saint-Pierre, l'Homme libre et la Mer (l'Homme et la Mer), « Revue de Paris ».
1855Que diras-tu ce soir, pauvre âme solitaire..., « Revue de Paris ».
Les Fleurs du Mal (18 poèmes dont l'Ennemi, le Guignon, la Vie antérieure, le Vampire, Remords Posthumes, Réversibilité, Confession, l'Aube Spirituelle, l'Invitation au Voyage, l'Irréparable, Mœsta et errabunda, la Destruction, Un Voyage à Cythère, l'Amour et le Crâne),
« Revue des deux Mondes ».
1857La Beauté, la Géante, le Flambeau vivant, Harmonie du soir, le Flacon, le Poison, Tout entière, Sonnet (Avec ses vêtements ondoyants et nacrés...), Sonnet (Je te donne ces vers afin que si mon nom...), « Revue Française » ; l'Héautontimorouménos, l'Irrémédiable, Francisca meae laudes, « L'Artiste ».
Les Fleurs du Mal ().
Paysage Parisien (Paysage), Hymne, une gravure de Mortimer (Une gravure fantastique), la Rançon, « Le Présent ».
1859Le goût du néant, le Possédé, « Revue contemporaine » ; Sisina, le Voyage, l'Albatros, « Revue Française » ; la Chevelure, ibid ; les Sept Vieillards, les Petites Vieilles, Sonnet d'automne, Chant d'automne, le Masque, « Revue contemporaine ».
1860Le Squelette laboureur, À une madone, le Cygne, « La Causerie » ; Rêve parisien, l'Amour du mensonge, le Rêve d'un curieux, Semper eadem, Obsession, « Revue contemporaine ». ; Horreur sympathique, les Aveugles, Alchimie de la douleur, À une passante, Un fantôme, Chanson d'après-midi, Hymne à la beauté, l'Horloge, « L'Artiste ».
1861Les Fleurs du Mal (seconde édition augmentée de 35 poèmes nouveaux).
La voix, le Calumet de paix, « Revue contemporaine » ; Madrigal triste, « Revue Fantaisiste » ; la Prière d'un païen, le Rebelle, l’Avertisseur, Épigraphe pour un livre condamné, « Revue Européenne » ; Recueillement, ibid.
1862Le Couvercle, le Coucher du soleil romantique, « Le Boulevard » ;
la Lune offensée, « L'Artiste » ; la Plainte (les Plaintes) d'un Icare, « Le Boulevard ».
1864Les yeux de Berthe, Sur « Le Tasse en prison » d'Eugène Delacroix, Bien loin d'ici, « Revue Nouvelle » ; Sur les débuts de Mademoiselle Armina Boschetti, « La Vie Parisienne ».
1866Les Épaves (23 poèmes dont Lesbos, Femmes damnées — Delphine et Hippolyte, le Léthé, À celle qui est trop gaie, les Bijoux, les Métamorphoses du Vampire, les Promesses d’un visage, le Monstre, l’Imprévu, À propos d’un importun, un Cabaret folâtre...)
Chronologie des poèmes en prose du Spleen de Paris[2]
1855Le Crépuscule du soir, la Solitude.
1857Poëmes[3] nocturnes (6 poèmes dont l'Horloge, un Hémisphère dans une chevelure, l'Invitation au Voyage, les Projets...). « Le Présent ».
1861Poèmes en prose (9 poèmes dont 3 inédits : les Foules, les Veuves, le Vieux Saltimbanque). « Revue Fantaisiste ».
1862Petits poëmes en prose (20 poèmes dont 14 inédits : l'Étranger, le Désespoir de la vieille, le Confiteor de l’artiste, un Plaisant, La Chambre double, Chacun sa Chimère, le Fou et la Vénus, le Chien et le Flacon, le Mauvais vitrier, A une heure du matin, la Femme sauvage et la petite maîtresse, le Gâteau, le Joujou du pauvre, les Dons des Fées). « La Presse ».
Petits poëmes en prose (les Tentations ou Éros, Plutus et la gloire ; la Belle Dorothée, Une mort héroïque, le Thyrse, Déjà !, les Fenêtres, le Désir de peindre). « Revue Nationale et Étrangère ».
Poëmes en prose(les Bienfaits de la lune, Laquelle est la vraie ?). « Le Boulevard ».
1864Le Spleen de Paris, Petits poëmes en prose (le Joueur généreux, la Corde, les Vocations, Enivrez-vous, Un cheval de race). « Figaro ».
1867Portraits de maîtresse, Any where out of the world — N'importe où hors du monde, le Tir et le Cimetière, « Revue Nationale et Étrangère ».
1868Petits Poëmes en prose (posthumes ; 50 poèmes).
Sources
Les Fleurs du Mal suivies de Petits Poèmes en prose, Curiosités Esthétiques, l'Art Romantique et des Journaux intimes par Charles Baudelaire, Éditions POCKET, LIRE ET VOIR LES CLASSIQUES, collection dirigée par Claude AZIZA (1997). (ISBN2-266-03187-2)
Notes et références
↑Les Fleurs du Mal, Éditions Pocket (1997). pp. 297-299 (ISBN2-266-03187-2)