Christophe Rauck suit d'abord une formation de comédien. En 1991, il intègre la troupe du Théâtre du Soleil d'Ariane Mnouchkine, période durant laquelle il joue dans Les Atrides ainsi que dans la pièce d’Hélène Cixous, La Ville parjure ou le Réveil des Erinyes. Puis il travaille encore en tant que comédien, sous la direction de Silviu Purcarete, dans Orestie.
En 1995, il crée la « Compagnie Terrain vague (titre-provisoire) ». L'année suivante, la première création de la compagnie, Le Cercle de craie caucasien de Bertolt Brecht, pièce interprétée par une équipe de comédiens dont la plupart ont été formés par Ariane Mnouchkine, est jouée au Théâtre du Soleil à la Cartoucherie de Vincennes. La pièce sera reprise en tournée, accueillie dans de nombreuses salles de spectacles, dont le Berliner Ensemble en 1998, à l'occasion de la célébration du centenaire de la naissance de Brecht.
En 1998-1999, Christophe Rauck séjourne à Saint-Pétersbourg où il suit un stage de mise en scène avec Lev Dodine.
↑Brigitte Salino, « Avec Christophe Rauck, marivaudons à Saint-Denis », Le Monde, (lire en ligne).
↑René Solis, « Phèdre, les nerfs de la guerre », Libération, (lire en ligne).
↑Frédérique Roussel, « Figaro, ce petit bourgeois », Libération, (lire en ligne).
↑Fabienne Darge, « Avec Shakespeare, dans la forêt des désirs », Le Monde, (lire en ligne).
↑Fabienne Darge, « Ce Pays lointain qui rend hommage à la grâce de Lagarce : Christophe Rauck propose, avec les élèves de l’Ecole du Théâtre du Nord, une adaptation bouleversante de la dernière pièce de l’auteur », Le Monde, , p. 16 (lire en ligne).
↑Ève Beauvallet, « «La Faculté des rêves, rencontre avec une Amazone de conflit », Libération, (lire en ligne).
↑Jean-Pierre Thibaudat, « La faculté des rêves : le spectacle fascinant d’une double fascination », Médiapart, (lire en ligne).
↑Fabienne Darge, « Théâtre : Cécile Garcia-Fogel, en corps-à-corps avec Valerie Solanas », Le Monde, (lire en ligne).
↑Anne Diatkine, « Dissection d’une chute de neige par Christophe Rauck, une princesse fort marrie », Libération, (lire en ligne).
↑Fabienne Darge, « À Avignon, Shakespeare, perdu dans La Tempesta, retrouve son âme avec Richard II », Le Monde, (lire en ligne).
↑Marie-Aude Roux, « Monteverdi dans le "neuf-trois" », Le Monde, (lire en ligne).
↑Caroline Mounier-Vehier, « Le Retour d’Ulysse dans sa patrie. Monteverdi vu par Christophe Rauck », Agôn, (lire en ligne).