Très vite, il choisit la carrière pianistique qu'il avait amorcée dès l'âge de dix ans, lors d'un concert à Louvain. Un de ses maîtres fut Sigismond Thalberg.
Particulièrement remarqué pour ses interprétations d'œuvres classiques, il devient en 1885, professeur de piano à l'école Niedermeyer (dirigée par Gustave Lefèvre) et, l'année suivante, au Conservatoire de Paris.
Vers 1860, Charles entretint une liaison avec la comédienne Marie Colombier, au tout début de sa carrière. Quelques années auparavant il avait recueilli la jeune fille âgée de quinze ans, alors qu'elle s'était enfuie du domicile familial. Il l'avait emmenée à Bruxelles où vivait son père, lequel l'avait prise sous sa protection et lui avait offert ses premières leçons de théâtre[1].
Œuvres
Il laisse une soixantaine d'œuvres, parmi lesquelles :