Le championnat de France féminin de handball 1989-1990 est la trente-neuvième édition de cette compétition. Le championnat de Nationale 1A est le plus haut niveau du championnat de France de ce sport. Douze clubs participent à la compétition.
À la fin de la saison, l'ASPTT Metz est désigné champion de France de Nationale 1A, pour la première fois de son histoire, devant l'USM Gagny. Metz a aussi remporté la Coupe de France 1989-1990.
Modalités
Première phase
Les 12 équipes de Nationale 1A sont réparties dans deux poules de six équipes[1]. Les clubs classés aux trois premières places de chacune des deux poules sont qualifiés pour participer à la deuxième phase de Division N1A. En revanche les clubs classés aux quatrième, cinquième et sixième places de chacune des deux poule sont qualifiés pour participer à la deuxième phase de Division Nationale 1B[1].
Deuxième phase
Les 6 clubs de Nationale 1A se rencontrent en matches aller et retour. Le club classé à la première place au terme de la compétition est
déclaré « Champion de France 1990 »[1].
La deuxième phase de Nationale 1B regroupe les 6 moins bons clubs de Nationale 1A et les clubs classés aux deux premières places de chacune des trois poules de la première phase de Division Nationale 1B. Les clubs classés à la première place de chacune des deux poules disputent le titre de champion de France Division Nationale 1B féminine en match aller et retour. Les six clubs classés aux trois premières places de chacune des
deux poules de la deuxième phase de Division Nationale 1B évolueront en Nationale 1A la saison suivante[1].
Première phase
Les 12 équipes sont réparties dans deux poules[2] :
Les résultats et classements ne sont pas connus. En gras apparaissent les clubs aménes à évoluer dans la deuxième phase de Nationale 1A et en italiques apparaissent les clubs relégués dans la deuxième phase de Nationale 1B.
↑ abc et d« Règlements particuliers des compétitions nationales : Nationale 1A féminine », Hand-ball : bulletin fédéral, Fédération française de handball, no 242, , p. 20 (lire en ligne, consulté le )