Le château de Pépinville est un château situé près de Richemont dans le département de la Moselle. Un incendie s'est déclaré le lundi 29 juillet 2024 ravageant toute la structure de la charpente, les pompiers ont réussi à sauvegarder la chapelle, une bien triste nouvelle sur ce site dont les villageois y sont attachés par son histoire.
Le château a été détruit et reconstruit plusieurs fois. Au XVIe siècle, achat du site par une famille luxembourgeoise. Il a été restauré en 1776[1]. Une tour ronde a été remplacée par une chapelle en 1938[2].
Des religieuses y installent un orphelinat à la fin du XIXe siècle. Un institut médico-psychopédagogique s'y installe en 1951. Le domaine a été repris par la suite par le centre socio-éducatif de Guénange.
Le 29 juillet 2024 un incendie s'est déclaré et a ravagé toute la structure de la charpente, grâce à la mobilisation des pompiers, la chapelle n'a subi aucun dommage.
Ce site classé "Seveso" depuis quelques décennies a dû fermer le centre éducatif pour enfants en difficulté étant à quelques dizaines de mètres de la centrale Air Liquide.
Cet emplacement était encore actif avec le périscolaire, le centre aéré et quelques activités comme la chasse aux oeufs des enfants à Pâques et son stade de football.
Depuis peu, la commune a décidé de vendre le domaine à hauteur de plus de 2 millions d'euros pour un projet de construction de près de 130 logements. Un étonnement total de la part des Richemontois par rapport au classement Seveso sans compter la crainte de structures éducatifs ou de santé insuffisantes ainsi que la "bétonnisation" de ce site historique dont les villageois y sont fortement attachés. À suivre...
↑Contrairement à une erreur courante (jusque dans les catalogues de la Bibliothèque nationale de France), le nom de plume de Théodore Gosselin ne comporte aucun accent, par la volonté même de son porteur. Théodore Gosselin fait en effet le choix de son pseudonyme, en , à l’occasion de la publication de son premier article dans les colonnes du Figaro. Il s’inspire pour cela du nom d’un lointain arrière-grand-oncle, le jardinier André Le Nôtre, mais préfère l’orthographier en un seul mot et sans accent. Et, en guise de prénom, il choisit la seule initiale de son nom de famille, disant lui-même : « Le G. que j’ai mis devant ne signifie ni Georges, ni Guy, ni Gaston, ni même Gédéon, comme certains le croient et le disent, mais tout simplement Gosselin, qui est mon nom de contribuable. »