Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes » ().
Mac Arthur qui, avant la guerre, avait sa propre unité de renseignements transmissions, la Station 6[Quoi ?] des Philippines, avait l'habitude de ne pas dépendre de l'U.S. Navy. Toutefois, la plus grande partie du renseignement transmissions qu'il avait reçu venait de la Station CAST, de l'arsenal de Manille, évacuée à Corregidor.
À l'époque de l'arrivée de Mac Arthur à Central Bureau en janviers 1906, plusieurs unités de renseignement transmissions opèrent en Australie[pertinence contestée].
No. 4 Australian Special Wireless Section[Quoi ?], à Park Orchard, Melbourne
la petite section d'interception diplomatie et presse[Quoi ?] de Park Orchard
Des personnels du groupe crypto de l'US Navy aux Philippines, évacués au début de , travaillent à Melbourne. Leur travail est de faire suivre tous les renseignements transmissions à l'OP-20-G de Washington[pas clair].
Il déplaît à Mac Arthur de dépendre ainsi des marins. Une de ses premières décisions est de développer le renseignement transmissions. Son adjoint aux renseignements est le général Willoughby. Son adjoint au transmissions est le général Akin. Tous conviennent du besoin d'un centre de recherche et de contrôle du renseignement transmissions. Deux groupes complémentaires sont créés :
une organisation d'interception (No. 5 Wireless Section)
un centre de recherche et de contrôle (Central bureau).
Le Central Bureau est fondé, le , sous le commandement du général Akin dont le quartier-général est à Melbourne.
Origines
La nouvelle organisation est rejointe par un petit groupe de l'Australian Naval Intelligence, commandé par le capitaine de frégate trésorier Eric Nave et le professeur Trendall. Ce groupe avait travaillé au décryptage des codes diplomatiques japonais.
Le Central Bureau s'installe dans une vieille maison, "Cranleigh", de Domain Road, à South Yarra à Melbourne.
La mission du Central Bureau est d'intercepter les trafics de l'armée de terre et de la marine japonaises, en étroite collaboration avec les autres centres de renseignements transmissions aux États-Unis, au Royaume-Uni et aux Indes. Mic Sandford est nommé chef de corps de l'AIF[Quoi ?] du Central Bureau.
Le major Abraham Sinkov, mathématicien, est nommé directeur adjoint du Central Bureau. Autrefois[Quand ?] chargé de la station d'interception de Panama, Sinkov est un ancien cryptographe de l'US Army Signals Intelligence Service, sous William Friedman. En 1941, Sinkov avait visité la Grande-Bretagne pour faciliter les échanges de renseignements cryptographiques. Responsable en titre, le général Akin laisse faire Sinkov qui a toute sa confiance.[source insuffisante]
Les cryptanalystes de Corregidor sont affectés aux Wireless Groups australiens. Une équipe des cryptographes, cryptanalystes et traducteurs venus de la section japonaise du Signal Intelligence Service de Washington sont affectés en Australie. Le Central Bureau recrute d'autres Australiens.
Structure
Le Central Bureau comprend:
administration
intendance
cryptographes
cryptanalystes
interprètes
traducteurs
section de campagne d'interception et de transmissions.
L'adjoint du général Akin, Joe Sherr, rescapé des Philippines, est chargé du transfert en Australie du premier contingent d'opérateurs de renseignement transmissions.
Au début, le Central Bureau est 50% Américain, 25% Australian Army et 25% RAAF.
Le , la petite station d'interception RAAF du 21 Sycamore Street / 24 French Street, banlieue de Pimlico à Townsville, rebaptisée No. 1 Wireless Unit RAAF est rattachée au Central Bureau. La nouvelle unité comprend 7 aviateurs de la RAAF, 1 AMF (armée de terre australienne) et 4 soldats de l'US Army.
Venu de FRUMEL passé sous commandement américain, le capitaine de frégate Nave arrive au Central Bureau à la mi-1942. Quoique chef de la division “Solutions”, il semble qu'en dépit de ses capacités, il s'en soit tenu aux codes mineurs[Quoi ?] japonais. Le colonel Sinkov et ses hommes attaquent les codes haut niveau[Quoi ?] de l'armée de terre japonaise.
Le Central Bureau ne brise pas de code haut niveau avant la mi-1943, c'est le Water Transport code[Quoi ?]. En , un code de l'armée japonaise est capturé à Sio, Nouvelle-Guinée.
Le , l'effectif en opérateurs d'interception du Central Bureau passe de 6 à 29..
Le , Mac Arthur installe son quartier général à Brisbane. Le Central Bureau suit. Il est rebaptisé CBB (Central Bureau Brisbane).
Une opération de renseignement distincte est sise dans la même région, dans un immeuble du 9 Queens Road, Hamilton, réquisitionné par le Service de contre-espionnage, G-2 Section, QG U.S. Army Forces en Extrême-Orient (U.S.A.F.F.E.).[pertinence contestée]
Dans le garage du 21 Henry Street, le Central Bureau Brisbane met en œuvre son matériel IBM[Lequel ?] à cartes perforées qui sert aux cryptanalystes[Comment ?], pour l'analyse des textes interceptés.
Les machines IBM sont déménagées chez les pompiers d'Ascot Park. Le garage est repris par No. 11 Australian Cypher Section et ses machines Typex mises en œuvre par des AWAS Australian Women's Army Service.
À partir de , les stations de l'U.S. Navy à Hawaii (Station HYPO), Cavite/Corregidor (Station CAST) et l'OP-20-G (Station NEGAT, de Washington) décryptent les trafics japonais bien plus vite que l'U.S. Army ou le Central Bureau Brisbane.
Quelque temps plus tard, le Central Bureau Brisbane déménage au 45 Eldernall Avenue, Hamilton[Lequel ?].
(en) Jack Bleakley, The Eavesdroppers, Canberra, AGPS (Australian Government Publishing Service), (ISBN0-644-22303-0)
(en) W. J. Holmes, Double-edged Secrets : U.S. Naval Intelligence Operations in the Pacific During World War II, Annapolis, Maryland, Blue Jacket Books/Naval Institute Press, (ISBN1-55750-324-9)
(en) John Prados, Combined fleet decoded : the secret history of American intelligence and the Japanese navy in World War II, New York, Random House, , 832 p. (ISBN0-679-43701-0)