Georges MarchalLucia BosèJulien BertheauJean-Jacques DelboGiani EspositoNelly Borgeaud
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
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Cela s'appelle l'aurore est un film français de Luis Buñuel, d'après le roman éponyme d'Emmanuel Roblès[1], sorti en 1956. Ce titre fait référence aux dernières répliques d'Électre, de Jean Giraudoux :
« - Comment cela s'appelle-t-il, quand le jour se lève, comme aujourd'hui, et que tout est gâché, que tout est saccagé, et que l'air pourtant se respire, et qu'on a tout perdu, que la ville brûle, que les innocents s'entre-tuent, mais que les coupables agonisent, dans un coin du jour qui se lève ? - Cela a un très beau nom, femme Narsès. Cela s'appelle l'aurore. »
« - Comment cela s'appelle-t-il, quand le jour se lève, comme aujourd'hui, et que tout est gâché, que tout est saccagé, et que l'air pourtant se respire, et qu'on a tout perdu, que la ville brûle, que les innocents s'entre-tuent, mais que les coupables agonisent, dans un coin du jour qui se lève ?
- Cela a un très beau nom, femme Narsès. Cela s'appelle l'aurore. »
Dans une petite ville Corse, en bord de mer, le docteur Valerio s'emploie à soigner les pauvres. Sa jeune épouse Angela, ne supportant plus l'endroit, l'incite à aller s'établir à Nice, mais le médecin ne souhaite pas partir avant d'avoir trouvé un remplaçant. Valerio s'est notamment lié d'amitié avec Sandro, un ouvrier agricole qui entretient les vignes appartenant à Gorzone, riche industriel et principal employeur de la ville.
Sandro, perturbé par la grave maladie de sa femme, a bien du mal à remplir ses fonctions. Durant une absence de son épouse, le docteur Valerio rencontre Clara, une jeune Italienne, et tombe amoureux d'elle[2]. Le drame éclate quand Gorzone congédie Sandro.
Certaines scènes ont été tournées sur une plage en Corse[3].
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