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Depuis 1983, elle est illustratrice pour l’édition jeunesse, l’édition scolaire et la presse magazine, en plus de réaliser des affiches, dont celle d’Amnistie internationale en 1987. Parallèlement à cette carrière, elle a publié plusieurs bandes dessinées, avant de se consacrer exclusivement à la littérature jeunesse.
Elle a été animatrice et chroniqueuse à l’émission Plexi-Mag (1986-1988) de Télémétropole (TVA).
Elle a également créé une série de romans jeunesse (Margot), et elle a exécuté l’illustration de plusieurs romans jeunesse au Québec et aux États-Unis, dont Le roi des loups (Boréal, 1998), N’aie pas peur, Nic ! (Les 400 coups, 2001) et La vache qui lit (Soulières, 2004).
Bandes dessinées
Elle publie un premier titre, Cent Dangers, pour lequel elle se chargea de l’édition, de l’impression et de la promotion auprès des médias. Par la suite, elle collaboré aux magazines Cocktail, Croc et Titanic. Elle a également publié des histoires dans Safarir, Filles d'aujourd'hui et Elle Québec.
L'historienne Mira Falardeau a écrit qu'elle incarnait « une nouvelle tendance de la BD réaliste, légèrement romantique, axée vers l'analyse psychologique des protagonistes[4] », tandis que le spécialiste Richard Langlois a affirmé qu'elle était « une disciple exemplaire du maître du suspense Alfred Hitchcock[5] ».
Caroline Merola est l’auteur d’une trentaine d’œuvres pour la jeunesse. Elle a publié chez différents éditeurs québécois, canadiens et américains : Les 400 coups, Soulières, Dominique et compagnie, La Courte Échelle, Boréal, Bayard Canada, Imagine, La Bagnole, Groundwood books, Golden Books, Rigby et Tundra Books.
Bandes dessinées
Cent dangers, Éditions Michel, 1986.
Ma Meteor bleue, Kami-case, 1990. (album à l’italienne)
La maison truquée, Kami-case, 1994. (réédition 2000)
Frissons d’humour, suivi de Ma Meteor bleue, Kami-case, 1996.
↑Daniel Sernine, « À l’honneur », Lurelu : la seule revue québécoise exclusivement consacrée à la littérature pour la jeunesse, vol. 25, no 2, , p. 92–105 (ISSN0705-6567 et 1923-2330, lire en ligne, consulté le )
↑ a et bJean-Dominic Leduc, « Jeune doyenne », sur Journal de Montréal, (consulté le )
↑Françoise Lepage, Histoire de la littérature pour la jeunesse: Québec et francophonies du Canada, Éd. David, coll. « Voix savantes », (ISBN978-2-89597-173-3 et 978-2-89597-193-1), p. 381-382
Annexes
Bibliographie
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