Les Carmélites missionnaires (en latin : Congregatio Sororum Carmelitarum Missionariarum) sont une congrégation religieuse féminine enseignante et hospitalière de droit pontifical
Les Sœurs tertiaires carmélites déchaussées sont agrégées aux Carmes déchaux le [2]. Ce rattachement est approuvée par le pape Pie X le et il est renouvelé une seconde fois le [2].
Avec l’approbation définitive du Saint-Siège le , les sœurs changent de nom pour celui de Carmélites missionnaires. En 1925, une fusion entre la congrégation de Barcelone (les Carmélites missionnaires) et celle de Tarragone (les Carmélites missionnaires thérèsiennes) est tentée, mais sans succès.
Le , lors de la guerre d'Espagne, 4 religieuses (Espérance de la Croix, Refuge de Saint Ange, Danièle de saint Barnabé, Gabrielle de saint Jean de la Croix) sont assassinées par les républicains espagnols. Elles sont béatifiées le par le pape Jean-Paul II[3].
Activités et diffusion
Les Carmélites missionnaires se consacrent à l'éducation de la jeunesse, aux soins des malades et des personnes âgées et aux retraites spirituelles[4].
Elles sont présentes dans 39 pays sur les 5 continents en[4],[5]:
↑(es) « Una historia qué contar », sur Carmelitas Misioneras, carmelitasmisioneras.org (consulté le ).
↑ ab et c(es) « Carmelitas Misioneras », sur Maison Cardinalice des Carmes déchaux, ocd.pcn.net (consulté le )
↑(es) « Carmelitas Misioneras (4 mártires) », sur Religiosas Mártires en la Guerra Civil (1936-1939), religiosasmartiresenlaguerra.blogspot.fr, (consulté le )