↑En 1861, le combat qui opposa Ernest Bonnefoy à Pascal Roux, avocat, adjoint au maire d'Aix, fut "très passionné" et "les récriminations réciproques". Bonnefoy promit 200 francs et une pendule à chaque chambrée. Il offrit en outre de verser 10 000 francs pour les vitraux d'une église de Saint-Cannat et de faire couvrir le lavoir public. En conflit avec les agents locaux de l'administration, il se faisait fort de les faire remplacer. Au contraire, il prit l'engagement d'indemniser le greffier de justice de paix, un de ses plus farouches partisans, au cas où on le destituerait. Aux promesses succédèrent les fraudes, et Bonnefoy sortit vainqueur des urnes. (source : http://provence-historique.mmsh.univ-aix.fr/Pdf/PH-1971-21-084_04.pdf)