Le lendemain, le leader du SCUD annonce détenir le contrôle de la ville. Les combats provoquent la mort de 100 à 300 rebelles, trois à cinq soldats et trois civils. Un hélicoptère de l'armée régulière fut détruit et un autre gravement endommagé.
Le ministre tchadien de la communication accuse le gouvernement soudanais, tandis que le porte-parole du ministère soudanais des affaires étrangères nia tout soutien aux rebelles. Le Tchad se déclare en guerre, et fut accusé en retour par le Soudan de violer son espace aérien.