Une synthèse alternative intéressante de l'azlocilline implique l'activation de l'analogue de la phénylglycine substituée 1 avec du chlorure de 1,3-diméthyl-2-chloro-1-imidazolinium 2, puis une condensation avec du 6-APA[4],[5] :
Pharmacologie
En se liant à des protéines de liaison à la pénicilline (PBP) spécifiquement situées à l'intérieur de la paroi cellulaire bactérienne, l'azlocilline inhibe le troisième et dernier stade de la synthèse de la paroi cellulaire bactérienne en bloquant ainsi la réticulation des peptidoglycanes, qui sont des composants essentiels de la paroi cellulaire bactérienne. La lyse cellulaire est ensuite médiée par des enzymes autolytiques de la paroi cellulaire bactérienne telles que les autolysines. Il est possible que l'azlocilline interfère avec un inhibiteur de l'autolysine[2].
↑H. Lode, U. Niestrath, P. Koeppe, H. Langmaack, Azlocillin and mezlocillin: two new semisynthetic acylureido-penicillins (author's transl), Infection, 1977, vol.5(3), pp. 163–169. (ISSN0300-8126), DOI10.1007/bf01639753, PMID334673.
↑ a et b(de) H. B. Koenig, K. G. Metzer, H. A. Offe, W. Schroeck Azlocillin. Ein Neues Penicillin aus der Acylureidoreihe: Synthese und Chemische Eigenschaften, Eur. J. Med. Chem. - Chim. Ther., 1982, vol. 17(1), pp. 59–63.
↑V. J. Bauer, S. R. Safir, Octamethylbiguanide perchlorate, Journal of Medicinal Chemistry, 1966, vol. 9(6), pp. 980–981. DOI10.1021/jm00324a056, PMID4291383.