Elle naît le 31 août 1869 à Cherbourg, de Raymond de Faucamberge (alors capitaine au 60ème régiment de ligne, né le 13 mars 1835 à Caen) et d'Octavie Virginie Filippi de Fabÿ (née le 16 juillet 1847 à Paris).
Après des études à Paris, Aurélie de Faucamberge épouse le peintre paysagiste Cyrille Besset, puis le 5 avril 1906 à Nice, l'écrivain et journaliste Alfred Mortier[4].
Sa signature autographe (Aurel) figure sur l'un des feuillets signés par les convives du banquet mémorable donné le 31 décembre 1916 en honneur d'Apollinaire à l'Ancien Palais d'Orléans de l'Avenue du Maine[6].
En 1933, elle fonde le Cercle littéraire et artistique de Grasse, dont elle devient la présidente la première année[réf. nécessaire].
Elle est l'autrice de nombreux essais et romans sensuels consacrés au couple moderne[Lesquels ?].
Le Drame d’être deux (Avec Han Ryner), les Éditions du Fleuve, 1924, 287 p.
La Conscience embrasée. Les Sœurs de Chateaubriand, Louise Ackermann, Marie Lenéru, Lucie Delarue-Mardrus, Jacques-Trève, Marie Dauguet, Marie Noël, Hélène Jung Radot, 1927, 227 pages
Pages choisies, avec une préface de Gonzague Truc, Eugène Figuière, 1927
L’Art d’aimer, Fayard, 1927, 2 vol.
Le Miracle de la chair (2e volume de l’Art d’aimer ?)
La vierge involontaire, Albert Messein, 1930
L’Amour par lettres, Albert Messein, 1932, 217 p.
Opinions morales et esthétiques I – La Vie et ses rongeurs, Albert Messein, 1934, 320 p.
L’Art de joie, Éditions de l’Institut Pelman, 1935, 219 p.
La Flamme aux yeux (1936 ?), 207 p.
Tu es fort, Messein, 1938, 287 p.
Le Nouvel art d’aimer, Presses universitaires de France, 1941, 172 p.
L’homme de ma vie. Alfred Mortier… La Tour du guet, 1947, 369 p.