Entre 1923 et 1924 il connait un grand succès comme novillero, ce qui lui permet de prendre l'alternative dès le 30 novembre de la même année dans les arènes d'El Toreo à Mexico, avec pour parrain Rodolfo Gaona[1].
De retour au Mexique en 1952, il est gravement blessé dans les arènes de Mexico et il met fin à sa carrière cette année-là. Il aura été un torero de valeur, bon à l'estocade et à la cape, efficace avec les banderilles[2].
Bibliographie
Robert Bérard, Histoire et dictionnaire de la Tauromachie, Paris, Bouquins Laffont, , 1056 p. (ISBN978-2-221-09246-0, BNF39009903)